Palestrina ou L'esthétique de l'âme du monde

Par : Jean-François Gautier

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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • Poids0.142 kg
  • Dimensions11,5 cm × 21,7 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7427-0168-0
  • EAN9782742701681
  • Date de parution01/04/1994
  • Collectionmusique
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

Debussy aurait composé, si l’on en croit les structuralistes du dernier demi-siècle, une musique en totale rupture avec sa tradition. L’auteur s’attache ici à montrer que si Debussy a bien délaissé le théâtre du changement des romantiques dont il héritait c’était surtout pour retrouver, en deçà, ce qui motivait déjà l’écriture de Palestrina, de Bach ou de Couperin : l’expression de la variabilité même.
Du Quatuor (1893) aux ultimes Sonates de chambre (1917), du Prélude à l’après-midi d’un faune (1894) à Jeux (1913) en passant par les Préludes pour piano et les Etudes, c’est la même leçon que délivre Debussy : l’art est une maxime intérieure à la vie, acquiesçant à l’éternelle mobilité des choses et redisant, pour la sensibilité, les accords, les discordes et les ruptures qui sont la matière même de toute existence.
Debussy aurait composé, si l’on en croit les structuralistes du dernier demi-siècle, une musique en totale rupture avec sa tradition. L’auteur s’attache ici à montrer que si Debussy a bien délaissé le théâtre du changement des romantiques dont il héritait c’était surtout pour retrouver, en deçà, ce qui motivait déjà l’écriture de Palestrina, de Bach ou de Couperin : l’expression de la variabilité même.
Du Quatuor (1893) aux ultimes Sonates de chambre (1917), du Prélude à l’après-midi d’un faune (1894) à Jeux (1913) en passant par les Préludes pour piano et les Etudes, c’est la même leçon que délivre Debussy : l’art est une maxime intérieure à la vie, acquiesçant à l’éternelle mobilité des choses et redisant, pour la sensibilité, les accords, les discordes et les ruptures qui sont la matière même de toute existence.
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Jean-François Gautier
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