Prix Griffe noire du meilleur roman étranger
Coup de coeur

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  • Nombre de pages636
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.328 kg
  • Dimensions10,7 cm × 17,8 cm × 2,7 cm
  • ISBN979-10-339-1540-9
  • EAN9791033915409
  • Date de parution08/11/2023
  • CollectionHarper Collins Poche
  • ÉditeurHarperCollins France
  • TraducteurLaura Bourgeois

Résumé

De la Corée au Japon, une fresque familiale sur les routes de l'exil Début des années 1930. Dans un petit village coréen, la jeune Sunja se laisse séduire par un riche étranger. Enceinte de cet amant déjà marié, elle est confrontée à un choix : devenir sa seconde épouse, " l'épouse coréenne " , ou couvrir sa famille de déshonneur. Elle empruntera une troisième voie : le mariage avec Isak, un pasteur chrétien qu'elle connaît à peine et qui lui offre une nouvelle existence au Japon.
Cette décision est alors le point de départ d'un douloureux exil, qui s'étendra sur huit décennies et quatre générations. Avec une justesse historique remarquable et une écriture captivante, Min Jin Lee nous offre un hymne intime et poignant à tous les sacrifices que font les immigrés pour trouver leur place en pays étranger. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Laura Bourgeois. A propos de l'autrice Née à Séoul, Min Jin Lee a immigré aux Etats-Unis avec sa famille à l'âge de sept ans.
Elle vit aujourd'hui à New York. Pachinko est son deuxième roman. "Une histoire puissante sur la résilience et la compassion". Barack Obama "Un immense roman qui bouleverse, charme et détend comme la plus brillante des sagas". Gérard Collard, La griffe noire
De la Corée au Japon, une fresque familiale sur les routes de l'exil Début des années 1930. Dans un petit village coréen, la jeune Sunja se laisse séduire par un riche étranger. Enceinte de cet amant déjà marié, elle est confrontée à un choix : devenir sa seconde épouse, " l'épouse coréenne " , ou couvrir sa famille de déshonneur. Elle empruntera une troisième voie : le mariage avec Isak, un pasteur chrétien qu'elle connaît à peine et qui lui offre une nouvelle existence au Japon.
Cette décision est alors le point de départ d'un douloureux exil, qui s'étendra sur huit décennies et quatre générations. Avec une justesse historique remarquable et une écriture captivante, Min Jin Lee nous offre un hymne intime et poignant à tous les sacrifices que font les immigrés pour trouver leur place en pays étranger. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Laura Bourgeois. A propos de l'autrice Née à Séoul, Min Jin Lee a immigré aux Etats-Unis avec sa famille à l'âge de sept ans.
Elle vit aujourd'hui à New York. Pachinko est son deuxième roman. "Une histoire puissante sur la résilience et la compassion". Barack Obama "Un immense roman qui bouleverse, charme et détend comme la plus brillante des sagas". Gérard Collard, La griffe noire

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
4/5
Chroniques d'une famille coréenne
Dans ce roman nous suivons tout d'abord Sunja, une jeune coréenne forcée après être tombée enceinte de son amant de fuir pour le Japon, ne souhaitant ni devenir une seconde épouse, ni couvrir sa famille de déshonneur. La narration se fait ensuite à travers ses enfants, puis ses petits-enfants, nous faisant découvrir la vie d'une famille coréenne immigrée tout au long du XXe siècle. "Pachinko" est une très belle saga familiale sur l'exil, le racisme, l'espoir, le sacrifice, l'amour aussi, où se mêlent étroitement l'histoire du Japon et de la Corée.
Dans ce roman nous suivons tout d'abord Sunja, une jeune coréenne forcée après être tombée enceinte de son amant de fuir pour le Japon, ne souhaitant ni devenir une seconde épouse, ni couvrir sa famille de déshonneur. La narration se fait ensuite à travers ses enfants, puis ses petits-enfants, nous faisant découvrir la vie d'une famille coréenne immigrée tout au long du XXe siècle. "Pachinko" est une très belle saga familiale sur l'exil, le racisme, l'espoir, le sacrifice, l'amour aussi, où se mêlent étroitement l'histoire du Japon et de la Corée.
  • Littérature étrangère
Virginie B. - 10Decitre Annemasse
5/5
Histoire d'une famille coréenne au Japon.
Tout commence dans un village coréen. Sunja, jeune coréenne, est séduite par un homme d'affaire étranger. Quand elle lui annonce qu'elle est enceinte, il lui avoue qu'il est déjà marié et lui propose de devenir sa maitresse officielle. Le refus de Sunja va être le début d'un histoire tourmentée et passionnante. Min Jin Lee vous raconte l'histoire de cette famille sur quatre générations entre une Corée occupée et un Japon à la civilisation si particulière.
Tout commence dans un village coréen. Sunja, jeune coréenne, est séduite par un homme d'affaire étranger. Quand elle lui annonce qu'elle est enceinte, il lui avoue qu'il est déjà marié et lui propose de devenir sa maitresse officielle. Le refus de Sunja va être le début d'un histoire tourmentée et passionnante. Min Jin Lee vous raconte l'histoire de cette famille sur quatre générations entre une Corée occupée et un Japon à la civilisation si particulière.
ManikaFuret du Nord Lieusaint
5/5
Une famille coréenne au Japan
Dans cette saga familiale, nous suivons une famille coréenne sur quatre générations. Pachinko nous plonge dans une partie noire de l'histoire du Japon qui a occupé la Corée pendant plus de vingt ans . L'auteure, aborde ici les conséquences de cette occupation. Elle dépeint la vie de ceux qui ont immigrés , laissant leur terre natale derrière eux, à la recherche d'une vie meilleur . Les thèmes tels que l'exile, l'identité, les liens familiaux, la résilience, la transmission sont présent tout au long de ce livre. Une histoire bouleversante, déchirante. A découvrir, à dévorer.
Dans cette saga familiale, nous suivons une famille coréenne sur quatre générations. Pachinko nous plonge dans une partie noire de l'histoire du Japon qui a occupé la Corée pendant plus de vingt ans . L'auteure, aborde ici les conséquences de cette occupation. Elle dépeint la vie de ceux qui ont immigrés , laissant leur terre natale derrière eux, à la recherche d'une vie meilleur . Les thèmes tels que l'exile, l'identité, les liens familiaux, la résilience, la transmission sont présent tout au long de ce livre. Une histoire bouleversante, déchirante. A découvrir, à dévorer.
  • saga familiale
  • occupation japonaise de la corée du sud

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.7/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Meilleure lecture de l’année
Petit spoiler : il s’agit de ma meilleure lecture de ces 3 dernières années. Un véritable coup de cœur pour moi. Min Jin Lee nous emmène en Asie : d’abord en Corée puis au Japon. Dans ce magnifique roman, nous suivons quatre générations d’une famille coréenne au XXème siècle. Tout part de Sunja, une jeune femme coréenne qui est amoureuse d’un japonais. Cette dernière tombe enceinte mais elle découvre après coup que son amant est déjà marié. Sunja décide d’arrêter cette liaison. Quelques temps plus tard, son chemin croise celui d’Isak, un pasteur. Ce dernier décide de l’aider et l’épouse. S’en suivent alors de nombreux événements liés à cette famille. Dès le début, on est dépaysé. Pour le coup, je connais peu la culture japonaise et encore moins la culture coréenne. Et j’ai apprécié en apprendre plus sur l’Histoire de ces pays. J’ignorais la complexité de ces deux pays et notamment la ségrégation que les japonais ont pu exercer sur les coréens. On est plongé dans une époque où colonisation, guerre, mafia, dictature, racisme, humiliation, arrestation sont omniprésentes. Une période où il faut redoubler d’efforts pour ne pas mourir de faim, de soif, de fatigue. A ce moment-là, « le destin d’une femme est de travailler et de souffrir. Souffrir, et souffrir encore. » Toutefois, tout n’est pas triste et ténébreux dans cette œuvre. Sa force est surtout l’amour de cette famille qui est profond et doux à la fois. En revanche, ce qui est certain, c’est que je suis passée par toutes les émotions possibles. J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai été en colère, j’ai été surprise, dégoûtée, frustrée, heureuse. Et c’est extrêmement rare qu’un écrivain arrive à me faire ressentir autant de sensations.
Petit spoiler : il s’agit de ma meilleure lecture de ces 3 dernières années. Un véritable coup de cœur pour moi. Min Jin Lee nous emmène en Asie : d’abord en Corée puis au Japon. Dans ce magnifique roman, nous suivons quatre générations d’une famille coréenne au XXème siècle. Tout part de Sunja, une jeune femme coréenne qui est amoureuse d’un japonais. Cette dernière tombe enceinte mais elle découvre après coup que son amant est déjà marié. Sunja décide d’arrêter cette liaison. Quelques temps plus tard, son chemin croise celui d’Isak, un pasteur. Ce dernier décide de l’aider et l’épouse. S’en suivent alors de nombreux événements liés à cette famille. Dès le début, on est dépaysé. Pour le coup, je connais peu la culture japonaise et encore moins la culture coréenne. Et j’ai apprécié en apprendre plus sur l’Histoire de ces pays. J’ignorais la complexité de ces deux pays et notamment la ségrégation que les japonais ont pu exercer sur les coréens. On est plongé dans une époque où colonisation, guerre, mafia, dictature, racisme, humiliation, arrestation sont omniprésentes. Une période où il faut redoubler d’efforts pour ne pas mourir de faim, de soif, de fatigue. A ce moment-là, « le destin d’une femme est de travailler et de souffrir. Souffrir, et souffrir encore. » Toutefois, tout n’est pas triste et ténébreux dans cette œuvre. Sa force est surtout l’amour de cette famille qui est profond et doux à la fois. En revanche, ce qui est certain, c’est que je suis passée par toutes les émotions possibles. J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai été en colère, j’ai été surprise, dégoûtée, frustrée, heureuse. Et c’est extrêmement rare qu’un écrivain arrive à me faire ressentir autant de sensations.
  • Japon
  • corée
Un livre qui se dévore
Roman passionnant, j’ai lu cette œuvre avec une passion dévorante. Il m’a fait penser a d’autres lectures sur la même période historique, comme « Filles de la mer » où une coréenne de Jeju est enlevée par les japonais et va vivre un enfer. Pachinko est en cela moins dur à lire, même si « Le destin d’une femme est de souffrir » comme cela est si souvent écrit . Il m’a également fait penser à « mémoires d’une geisha » où l’on voit que la vie de certaines japonaises â la même époque n’était pas plus reluisante. Bref, j’ai aimé suivre cette famille Coréenne sur quatre générations. Mon cœur s’est serré, j’ai eu littéralement des frissons ( pages 269, pages 496 ou encore page 440 pour ne rien spoiler). On suit cette famille durant l’occupation japonaise en Corée, puis son exil vers le Japon. C’est Sunja que nous suivrons presque du début à la fin. On y découvre toute la difficulté de définir son identité : au Japon , les Coréens sont considérés comme des étrangers pouvant être déportés à tout moment et au Japon, les Coréens exilés sont considérés comme « des batards de japonais ». Compliqué de trouver sa place. Ce livre évoque énormément de sujets ce qui le rend d’autant plus pertinent et intéressant ( homosexualité, place de la femme, religions, résilience, sacrifices, amour, désespoir, espoir ...). Que de sentiments . Mon seul regret : j’aurai aimé un traitement légèrement différent sur la dernière génération, où même la plume m’a moins plu ( du fait de la psychologie d’un personnage au moins). J’ai également aimé le rythme de ce roman: - livre 1 d 1910-1933 - livre 2 1939 -1962 - livre 3 : 1969-1989 Une pépite
Roman passionnant, j’ai lu cette œuvre avec une passion dévorante. Il m’a fait penser a d’autres lectures sur la même période historique, comme « Filles de la mer » où une coréenne de Jeju est enlevée par les japonais et va vivre un enfer. Pachinko est en cela moins dur à lire, même si « Le destin d’une femme est de souffrir » comme cela est si souvent écrit . Il m’a également fait penser à « mémoires d’une geisha » où l’on voit que la vie de certaines japonaises â la même époque n’était pas plus reluisante. Bref, j’ai aimé suivre cette famille Coréenne sur quatre générations. Mon cœur s’est serré, j’ai eu littéralement des frissons ( pages 269, pages 496 ou encore page 440 pour ne rien spoiler). On suit cette famille durant l’occupation japonaise en Corée, puis son exil vers le Japon. C’est Sunja que nous suivrons presque du début à la fin. On y découvre toute la difficulté de définir son identité : au Japon , les Coréens sont considérés comme des étrangers pouvant être déportés à tout moment et au Japon, les Coréens exilés sont considérés comme « des batards de japonais ». Compliqué de trouver sa place. Ce livre évoque énormément de sujets ce qui le rend d’autant plus pertinent et intéressant ( homosexualité, place de la femme, religions, résilience, sacrifices, amour, désespoir, espoir ...). Que de sentiments . Mon seul regret : j’aurai aimé un traitement légèrement différent sur la dernière génération, où même la plume m’a moins plu ( du fait de la psychologie d’un personnage au moins). J’ai également aimé le rythme de ce roman: - livre 1 d 1910-1933 - livre 2 1939 -1962 - livre 3 : 1969-1989 Une pépite
Une saga familiale passionnante !
Le récit va s’étirer sur 80 ans d’Histoire passionnante et tout démarre avec le personnage de Sunja, une jeune fille coréenne qui vit près de Busan, dans un petit village de Corée du Sud, où elle travaille dans la pension que tient sa mère depuis la mort de son père. Son quotidien n’a rien d’extraordinaire, jusqu’au jour où elle fait la rencontre d’un riche marchand coréen, immigré au Japon. Elle se laisse alors séduire par cet homme puissant mais lorsqu’elle se retrouve enceinte, son destin s’en voit bouleversé. Tout au long du récit, l’autrice dépeint la misère dans laquelle vivent nombreux coréens émigrés, fuyant la colonisation nipponne du début du XXe siècle, la pauvreté, la difficulté pour les coréens de trouver un travail ou une habitation, les patrons et propriétaires japonais refusant de traiter avec les coréens. En effet, même si l’autrice fait vivre dans son récit plusieurs générations, laissant se succéder de nombreux personnages, le sujet qui revient sans cesse demeure le racisme et toutes les représentations que les japonais se font des coréens, les préjugés et la discrimination omniprésente à leur égard. C’est un roman très fort, très beau, touchant sur la force de vie, la transmission, l’immigration, le pardon qui dresse aussi le portrait de femmes fortes, inspirantes, courageuses, dont la vie n’est que sacrifice.
Le récit va s’étirer sur 80 ans d’Histoire passionnante et tout démarre avec le personnage de Sunja, une jeune fille coréenne qui vit près de Busan, dans un petit village de Corée du Sud, où elle travaille dans la pension que tient sa mère depuis la mort de son père. Son quotidien n’a rien d’extraordinaire, jusqu’au jour où elle fait la rencontre d’un riche marchand coréen, immigré au Japon. Elle se laisse alors séduire par cet homme puissant mais lorsqu’elle se retrouve enceinte, son destin s’en voit bouleversé. Tout au long du récit, l’autrice dépeint la misère dans laquelle vivent nombreux coréens émigrés, fuyant la colonisation nipponne du début du XXe siècle, la pauvreté, la difficulté pour les coréens de trouver un travail ou une habitation, les patrons et propriétaires japonais refusant de traiter avec les coréens. En effet, même si l’autrice fait vivre dans son récit plusieurs générations, laissant se succéder de nombreux personnages, le sujet qui revient sans cesse demeure le racisme et toutes les représentations que les japonais se font des coréens, les préjugés et la discrimination omniprésente à leur égard. C’est un roman très fort, très beau, touchant sur la force de vie, la transmission, l’immigration, le pardon qui dresse aussi le portrait de femmes fortes, inspirantes, courageuses, dont la vie n’est que sacrifice.
  • saga familiale
  • corée
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