Orphelins de la révolution

Par : Cheick-Oumar Kanté

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  • Nombre de pages367
  • PrésentationBroché
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-911372-47-6
  • EAN9782911372476
  • Date de parution01/04/2004
  • ÉditeurMenaibuc Editions

Résumé

Dans ce pays, au nom fleurant bon la femme - la Guinée (Conakry) -, ce sont les enfants, d'abord, qui ont joué aux va-t-en révolutions. Leurs mamans, de fières amazones, se sont si bien mobilisées pour le triomphe desdites causes que leurs papas ont vite obtempéré, eux aussi ! La Grande Révolution, elle, a été décrétée par celui qui s'est octroyé le droit d'en être " Le Chef Suprême ", " Le seul Africain à avoir dit NON à De Gaulle ", un certain 28 Septembre 1958. Et la fraternité révolutionnaire internationale : russe, roumaine, tchèque, polonaise, bulgare, cubaine, chinoise... a poussé à la roue. Les farces de potaches, amplifiées par les égarements périodiques du " Grand Stratège ", l'excès de zèle de ses miliciens et la fanatisation de ses militants, ont viré à la tragédie familiale et nationale... " Orphelins de la Révolution " raconte ce qu'était " la perle de l'Afrique Occidentale Française " surnommée par endroits la " Suisse africaine " ou " les Vosges ", la " Normandie " ou la " Savoie " et, surtout, ce qu'elle est devenue vingt ans après la mort de Sékou Touré. Sans exotisme ni misérabilisme, le récit donne à voir, à entendre, à sentir et à ressentir sur les Guinéens. Et l'on réalise qu'il n'est pas illusoire d'espérer un sort meilleur pour un des peuples les plus chaleureux d'Afrique de l'Ouest, même si son pays a déjà tant dérivé qu'il semble s'être égaré de façon dangereuse et durable...
Dans ce pays, au nom fleurant bon la femme - la Guinée (Conakry) -, ce sont les enfants, d'abord, qui ont joué aux va-t-en révolutions. Leurs mamans, de fières amazones, se sont si bien mobilisées pour le triomphe desdites causes que leurs papas ont vite obtempéré, eux aussi ! La Grande Révolution, elle, a été décrétée par celui qui s'est octroyé le droit d'en être " Le Chef Suprême ", " Le seul Africain à avoir dit NON à De Gaulle ", un certain 28 Septembre 1958. Et la fraternité révolutionnaire internationale : russe, roumaine, tchèque, polonaise, bulgare, cubaine, chinoise... a poussé à la roue. Les farces de potaches, amplifiées par les égarements périodiques du " Grand Stratège ", l'excès de zèle de ses miliciens et la fanatisation de ses militants, ont viré à la tragédie familiale et nationale... " Orphelins de la Révolution " raconte ce qu'était " la perle de l'Afrique Occidentale Française " surnommée par endroits la " Suisse africaine " ou " les Vosges ", la " Normandie " ou la " Savoie " et, surtout, ce qu'elle est devenue vingt ans après la mort de Sékou Touré. Sans exotisme ni misérabilisme, le récit donne à voir, à entendre, à sentir et à ressentir sur les Guinéens. Et l'on réalise qu'il n'est pas illusoire d'espérer un sort meilleur pour un des peuples les plus chaleureux d'Afrique de l'Ouest, même si son pays a déjà tant dérivé qu'il semble s'être égaré de façon dangereuse et durable...
Le bogue réparateur !
Cheick-Oumar Kanté
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