Oralité et souveraineté politique en Afrique
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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- Poids0.155 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-06958-6
- EAN9782343069586
- Date de parution01/07/2015
- CollectionCroire et savoir en Afrique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage est traversé par cette thèse : la place centrale de l'oralité oriente de manière décisive la conception et l'exercice de la souveraineté politique en Afrique contemporaine. Il examine l'imaginaire du pouvoir en Afrique, en interrogeant les rapports qui lient les peuples africains, inconsciemment, au souverain ou à l'autorité politique. Ces rapports sont fondés sur un accueil affectif de la parole des autorités, sans une prise en compte consciente de leur action, et une évaluation des résultats de leur gouvernance politique.
La primauté de l'oralité, l'oubli du droit positif et la relativisation des textes rédigés (comme la constitution), sont une culture vivante en Afrique. Pour une bonne articulation gouvernance/ politique, il est urgent de suggérer aux politiques en Afrique, l'émergence d'une "éthique de la constitution", de sorte que leurs discours soient la traduction orale du texte constitutionnel, et leurs actions, le déploiement de la constitution, au bénéfice du bien-être individuel de chaque citoyen.
La primauté de l'oralité, l'oubli du droit positif et la relativisation des textes rédigés (comme la constitution), sont une culture vivante en Afrique. Pour une bonne articulation gouvernance/ politique, il est urgent de suggérer aux politiques en Afrique, l'émergence d'une "éthique de la constitution", de sorte que leurs discours soient la traduction orale du texte constitutionnel, et leurs actions, le déploiement de la constitution, au bénéfice du bien-être individuel de chaque citoyen.
Cet ouvrage est traversé par cette thèse : la place centrale de l'oralité oriente de manière décisive la conception et l'exercice de la souveraineté politique en Afrique contemporaine. Il examine l'imaginaire du pouvoir en Afrique, en interrogeant les rapports qui lient les peuples africains, inconsciemment, au souverain ou à l'autorité politique. Ces rapports sont fondés sur un accueil affectif de la parole des autorités, sans une prise en compte consciente de leur action, et une évaluation des résultats de leur gouvernance politique.
La primauté de l'oralité, l'oubli du droit positif et la relativisation des textes rédigés (comme la constitution), sont une culture vivante en Afrique. Pour une bonne articulation gouvernance/ politique, il est urgent de suggérer aux politiques en Afrique, l'émergence d'une "éthique de la constitution", de sorte que leurs discours soient la traduction orale du texte constitutionnel, et leurs actions, le déploiement de la constitution, au bénéfice du bien-être individuel de chaque citoyen.
La primauté de l'oralité, l'oubli du droit positif et la relativisation des textes rédigés (comme la constitution), sont une culture vivante en Afrique. Pour une bonne articulation gouvernance/ politique, il est urgent de suggérer aux politiques en Afrique, l'émergence d'une "éthique de la constitution", de sorte que leurs discours soient la traduction orale du texte constitutionnel, et leurs actions, le déploiement de la constitution, au bénéfice du bien-être individuel de chaque citoyen.