Oralité du foetus. Neurogenèse-Sensorialité-Dysoralité-Anoralité-Echographie-Syndrome de Robin

Par : Gérard Couly

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  • Nombre de pages138
  • PrésentationBroché
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-303-0011-6
  • EAN9791030300116
  • Date de parution21/05/2015
  • ÉditeurSauramps Médical

Résumé

Chez l'humain, comme chez tous les mammifères, l'oralité primaire se construit en période embryofoetale par la connectivité et la fonctionnalité des réseaux des interneurones réticulés du tronc cérébral ou rhombencéphale. Ces derniers élaborent grâce à leurs flexibilités les programmateurs de succion puis de déglutition en réponse à la multisensorialité afférentielle orofaciale. En oralité primaire, le programmateur de la succion est le «trigger» ou déclencheur de celui de la déglutition.
Ils assurent l'efficience progressive de l'oralité du foetus. Le programmateur de la succion ne serait que la seule innovation de l'oralité primaire des mammifères. Il sera remplacé par la voie cortico-géniculée qui commandera alors au programmateur de la déglutition lors de l'avènement de l'oralité praxique corticale post-natale. L'humain dispose de deux «cerveaux» successifs afin d'assurer dans le temps ses deux modalités orales : le tronc cérébral puis le cortex frontal.
La flexibilité des réseaux d'interneurones du programmateur de déglutition lui assure un fonctionnement innovant, permanent, et adapté dont la plasticité par reconfiguration dépend des signaux d'entrée afférents. La défaillance de la neurofonctionnalite de l'oralité primaire des syndromes de Robin, a pour origine celle du programmateur de succion et ainsi de sa connectivité avec celui de la déglutition.
Cette faillite ne présage pas de la même dysfonction lors de l'avènement de l'oralité secondaire. En 2015, les progrès fulgurants de l'échographie foetale fonctionnelle, permettent l'évaluation précoce de l'oralité primaire dynamique du foetus. Ces constats sont prédictifs de la qualité de sa déglutition postnatale et ainsi de son neurodéveloppement global futur.
Chez l'humain, comme chez tous les mammifères, l'oralité primaire se construit en période embryofoetale par la connectivité et la fonctionnalité des réseaux des interneurones réticulés du tronc cérébral ou rhombencéphale. Ces derniers élaborent grâce à leurs flexibilités les programmateurs de succion puis de déglutition en réponse à la multisensorialité afférentielle orofaciale. En oralité primaire, le programmateur de la succion est le «trigger» ou déclencheur de celui de la déglutition.
Ils assurent l'efficience progressive de l'oralité du foetus. Le programmateur de la succion ne serait que la seule innovation de l'oralité primaire des mammifères. Il sera remplacé par la voie cortico-géniculée qui commandera alors au programmateur de la déglutition lors de l'avènement de l'oralité praxique corticale post-natale. L'humain dispose de deux «cerveaux» successifs afin d'assurer dans le temps ses deux modalités orales : le tronc cérébral puis le cortex frontal.
La flexibilité des réseaux d'interneurones du programmateur de déglutition lui assure un fonctionnement innovant, permanent, et adapté dont la plasticité par reconfiguration dépend des signaux d'entrée afférents. La défaillance de la neurofonctionnalite de l'oralité primaire des syndromes de Robin, a pour origine celle du programmateur de succion et ainsi de sa connectivité avec celui de la déglutition.
Cette faillite ne présage pas de la même dysfonction lors de l'avènement de l'oralité secondaire. En 2015, les progrès fulgurants de l'échographie foetale fonctionnelle, permettent l'évaluation précoce de l'oralité primaire dynamique du foetus. Ces constats sont prédictifs de la qualité de sa déglutition postnatale et ainsi de son neurodéveloppement global futur.