Un des romans les plus beaux, les plus bouleversants qu’il m’ait été donné de lire.
Le sujet est difficile à aborder, mais il est traité de façon sensible, sans jamais tomber dans le pathos, sans omettre non plus toutes les difficultés qu’il faut surmonter quand une mort brutale nous sépare de ceux qu’on aime.
Un récit à la première personne, (sur fond de musique des années 60/80), qui donne vie tout de suite aux personnages :
Le narrateur, Dylan, est un adolescent de 15 ans dont l’amour pour son frère cadet est immense, absolu, tellement fort qu’il s’oublie constamment pour lui.
Et celui-ci, Griff, est un écorché vif, qui n’est pas loin de sombrer après le drame qui les a séparés de leurs parents.
Entrez dans leur intimité, celle de leur entourage plein de compassion, (dans leur malheur, ils ont quand même la chance de faire des rencontres magnifiques), remontez peu à peu la pente en leur compagnie, écoutez les musiques qui les aident à survivre, guettez le début d’un sourire, bien qu’éphémère, sur leur visage, et surtout...n’oubliez pas les mouchoirs.
Un des romans les plus beaux, les plus bouleversants qu’il m’ait été donné de lire.
Le sujet est difficile à aborder, mais il est traité de façon sensible, sans jamais tomber dans le pathos, sans omettre non plus toutes les difficultés qu’il faut surmonter quand une mort brutale nous sépare de ceux qu’on aime.
Un récit à la première personne, (sur fond de musique des années 60/80), qui donne vie tout de suite aux personnages :
Le narrateur, Dylan, est un adolescent de 15 ans dont l’amour pour son frère cadet est immense, absolu, tellement fort qu’il s’oublie constamment pour lui.
Et celui-ci, Griff, est un écorché vif, qui n’est pas loin de sombrer après le drame qui les a séparés de leurs parents.
Entrez dans leur intimité, celle de leur entourage plein de compassion, (dans leur malheur, ils ont quand même la chance de faire des rencontres magnifiques), remontez peu à peu la pente en leur compagnie, écoutez les musiques qui les aident à survivre, guettez le début d’un sourire, bien qu’éphémère, sur leur visage, et surtout...n’oubliez pas les mouchoirs.