Mourir
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-917770-83-2
- EAN9782917770832
- Date de parution10/04/2015
- CollectionPhilo ado
- ÉditeurRue de l'échiquier
Résumé
Des Livres qui rendent intelligent : une initiation à la philosophie à partir de situations vécues, d'exemples empruntés à la littérature et au cinéma. «Mourir» : ce seul mot suffit à faire frémir, on le prononce avec réticence. Alors comment parler de la mort ? Peut-on la réduire à la mort cérébrale, comme en médecine ? Au risque d'en nier la portée métaphysique ? Seul l'homme sait qu'il est mortel.
Et pourtant, Mourir reste pour l'esprit humain l'un des sujets les plus difficiles à appréhender. Les expressions courantes comme «il nous a quittés» ou «elle s'en est allée» en attestent, de même que les débats toujours vifs sur le suicide ou l'euthanasie. Si nous ne pouvons faire l'expérience de la mort, nous avons parfois affaire aux morts : éprouver le sentiment de perte après le décès d'un proche, faire son deuil, rêver des morts...
Et quelle place faisons-nous à nos «disparus» ? Comment et pourquoi les honorons-nous ? Peut-on se contenter de dire que «c'est la loi de la vie» pour accepter la mort ? Notre existence ne serait-elle pas beaucoup plus simple si nous étions immortels ?
Et pourtant, Mourir reste pour l'esprit humain l'un des sujets les plus difficiles à appréhender. Les expressions courantes comme «il nous a quittés» ou «elle s'en est allée» en attestent, de même que les débats toujours vifs sur le suicide ou l'euthanasie. Si nous ne pouvons faire l'expérience de la mort, nous avons parfois affaire aux morts : éprouver le sentiment de perte après le décès d'un proche, faire son deuil, rêver des morts...
Et quelle place faisons-nous à nos «disparus» ? Comment et pourquoi les honorons-nous ? Peut-on se contenter de dire que «c'est la loi de la vie» pour accepter la mort ? Notre existence ne serait-elle pas beaucoup plus simple si nous étions immortels ?
Des Livres qui rendent intelligent : une initiation à la philosophie à partir de situations vécues, d'exemples empruntés à la littérature et au cinéma. «Mourir» : ce seul mot suffit à faire frémir, on le prononce avec réticence. Alors comment parler de la mort ? Peut-on la réduire à la mort cérébrale, comme en médecine ? Au risque d'en nier la portée métaphysique ? Seul l'homme sait qu'il est mortel.
Et pourtant, Mourir reste pour l'esprit humain l'un des sujets les plus difficiles à appréhender. Les expressions courantes comme «il nous a quittés» ou «elle s'en est allée» en attestent, de même que les débats toujours vifs sur le suicide ou l'euthanasie. Si nous ne pouvons faire l'expérience de la mort, nous avons parfois affaire aux morts : éprouver le sentiment de perte après le décès d'un proche, faire son deuil, rêver des morts...
Et quelle place faisons-nous à nos «disparus» ? Comment et pourquoi les honorons-nous ? Peut-on se contenter de dire que «c'est la loi de la vie» pour accepter la mort ? Notre existence ne serait-elle pas beaucoup plus simple si nous étions immortels ?
Et pourtant, Mourir reste pour l'esprit humain l'un des sujets les plus difficiles à appréhender. Les expressions courantes comme «il nous a quittés» ou «elle s'en est allée» en attestent, de même que les débats toujours vifs sur le suicide ou l'euthanasie. Si nous ne pouvons faire l'expérience de la mort, nous avons parfois affaire aux morts : éprouver le sentiment de perte après le décès d'un proche, faire son deuil, rêver des morts...
Et quelle place faisons-nous à nos «disparus» ? Comment et pourquoi les honorons-nous ? Peut-on se contenter de dire que «c'est la loi de la vie» pour accepter la mort ? Notre existence ne serait-elle pas beaucoup plus simple si nous étions immortels ?