Mon cher collègue et ami. Lettres d'Etienne Gilson à Augusto Del Noce (1964-1969)
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- Poids0.158 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,1 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-84573-917-8
- EAN9782845739178
- Date de parution31/03/2011
- ÉditeurParole et Silence
- TraducteurSylvie Garoche
Résumé
La publication des lettres qu'Etienne Gilson a envoyées au philosophe piémontais Augusto Del Noce entre 1964 et 1969 est un document de première importance par la personnalité des auteurs, protagonistes de la pensée du XXe siècle, et par les problématiques abordées. L'interprétation de la philosophie moderne, de sa ligne franco-italienne, est au centre d'une rencontre marquée par des convergences mais aussi par des différences de points de vue. Les lettres font ressortir une vive participation à la vie du catholicisme post-conciliaire, avec des jugements critiques, parfois explosifs. Leur correspondance éclaire, de cette manière, leurs états d'âme et leurs directions de recherche. Grâce à elle, l'estime entre le vieux maître et son collègue italien plus jeune s'approfondit, donnant lieu à des développements significatifs dans la pensée des deux hommes, qui se réaliseront bien au-delà de leur dialogue épistolaire.
La publication des lettres qu'Etienne Gilson a envoyées au philosophe piémontais Augusto Del Noce entre 1964 et 1969 est un document de première importance par la personnalité des auteurs, protagonistes de la pensée du XXe siècle, et par les problématiques abordées. L'interprétation de la philosophie moderne, de sa ligne franco-italienne, est au centre d'une rencontre marquée par des convergences mais aussi par des différences de points de vue. Les lettres font ressortir une vive participation à la vie du catholicisme post-conciliaire, avec des jugements critiques, parfois explosifs. Leur correspondance éclaire, de cette manière, leurs états d'âme et leurs directions de recherche. Grâce à elle, l'estime entre le vieux maître et son collègue italien plus jeune s'approfondit, donnant lieu à des développements significatifs dans la pensée des deux hommes, qui se réaliseront bien au-delà de leur dialogue épistolaire.