Misère de la philosophie négro-africaine
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- Nombre de pages251
- PrésentationBroché
- FormatCompact
- Poids0.33 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-12708-8
- EAN9782343127088
- Date de parution01/10/2017
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
De 1945 à nos jours, la philosophie africaine fait penser à une "nécropologie". On se contente de regarder en arrière et de penser en arrière, de fouiller ici et là une philosophie que l'on ne parvient pas à élaborer soi-même. On cherche la philosophie dans les mythes, les contes, les proverbes, les coutumes, les langues, les civilisations anciennes, etc. Les "nécropologues" et les "tâcheristes" terrorisent ceux qui ne pensent pas comme eux.
Au nom de la race noire, au nom des traditions ancestrales, au nom de la tribu, au nom de la fierté continentale, au nom des anciennes civilisations africaines aujourd'hui disparues, ils entendent imposer leur manière de voir le monde. Que ceux qui n'ont rien à dire cessent de nous éreinter avec les définitions labyrinthiques de la philosophie, les polémiques soporifiques sur l'origine de la philosophie, les sociétés secrètes négro-africaines, les débats creux sur la philosophie ancestrale qui n'existe nulle part.
Que ceux qui veulent philosopher en Afrique, fassent comme Descartes, qui rédigeait son autobiographie intellectuelle et ses traités de métaphysique à la première personne du singulier.
Au nom de la race noire, au nom des traditions ancestrales, au nom de la tribu, au nom de la fierté continentale, au nom des anciennes civilisations africaines aujourd'hui disparues, ils entendent imposer leur manière de voir le monde. Que ceux qui n'ont rien à dire cessent de nous éreinter avec les définitions labyrinthiques de la philosophie, les polémiques soporifiques sur l'origine de la philosophie, les sociétés secrètes négro-africaines, les débats creux sur la philosophie ancestrale qui n'existe nulle part.
Que ceux qui veulent philosopher en Afrique, fassent comme Descartes, qui rédigeait son autobiographie intellectuelle et ses traités de métaphysique à la première personne du singulier.
De 1945 à nos jours, la philosophie africaine fait penser à une "nécropologie". On se contente de regarder en arrière et de penser en arrière, de fouiller ici et là une philosophie que l'on ne parvient pas à élaborer soi-même. On cherche la philosophie dans les mythes, les contes, les proverbes, les coutumes, les langues, les civilisations anciennes, etc. Les "nécropologues" et les "tâcheristes" terrorisent ceux qui ne pensent pas comme eux.
Au nom de la race noire, au nom des traditions ancestrales, au nom de la tribu, au nom de la fierté continentale, au nom des anciennes civilisations africaines aujourd'hui disparues, ils entendent imposer leur manière de voir le monde. Que ceux qui n'ont rien à dire cessent de nous éreinter avec les définitions labyrinthiques de la philosophie, les polémiques soporifiques sur l'origine de la philosophie, les sociétés secrètes négro-africaines, les débats creux sur la philosophie ancestrale qui n'existe nulle part.
Que ceux qui veulent philosopher en Afrique, fassent comme Descartes, qui rédigeait son autobiographie intellectuelle et ses traités de métaphysique à la première personne du singulier.
Au nom de la race noire, au nom des traditions ancestrales, au nom de la tribu, au nom de la fierté continentale, au nom des anciennes civilisations africaines aujourd'hui disparues, ils entendent imposer leur manière de voir le monde. Que ceux qui n'ont rien à dire cessent de nous éreinter avec les définitions labyrinthiques de la philosophie, les polémiques soporifiques sur l'origine de la philosophie, les sociétés secrètes négro-africaines, les débats creux sur la philosophie ancestrale qui n'existe nulle part.
Que ceux qui veulent philosopher en Afrique, fassent comme Descartes, qui rédigeait son autobiographie intellectuelle et ses traités de métaphysique à la première personne du singulier.