Mineurs violents, Etat inconsistant. Pour une révolution pénale
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- Nombre de pages101
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.13 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-8100-1252-7
- EAN9782810012527
- Date de parution08/01/2025
- ÉditeurL'Artilleur
Résumé
Chaque jour en France, des mineurs de plus en plus jeunes commettent des délits et des crimes de plus en plus graves. Et les aides diverses qui leur sont proposées ont un résultat d'autant plus incertain qu'elles ne s'appuient pas sur une loi ferme. Face à cela, Maurice Berger montre que l'Etat, la Justice, des médias s'enferment dans un véritable déni, car ces jeunes ne sont plus ceux des années 1960, ce ne sont plus des enfants et ils peuvent désormais être auteurs de viols ou de meurtres avant l'âge de quinze ans. Tout a changé, la gravité des fautes, leur nature, leurs causes. Le Code pénal des mineurs est dès lors devenu hors-sujet et la situation présente ne s'est jamais vue dans notre histoire, où une montée de la violence extrême s'accompagne d'une érosion de la peine. Pour le docteur Berger, il faut retrouver un projet de société commun reposant sur le respect absolu de l'intégrité physique, cesser d'être idéologues, et faire le bon diagnostic : ce n'est pas toute la société qui devient violente mais seulement certains de ses membres et il n'y a pas de décivilisation puisque ceux qui sont en cause n'ont jamais été civilisés. La solution prioritaire à mettre en oeuvre est une véritable révolution pénale affirmant la nécessités d'interdits clairs et matérialisés. Mais il faut faire très vite, les mineurs violents deviennent des adultes violents et leur nombre est en train de nous submerger.
Chaque jour en France, des mineurs de plus en plus jeunes commettent des délits et des crimes de plus en plus graves. Et les aides diverses qui leur sont proposées ont un résultat d'autant plus incertain qu'elles ne s'appuient pas sur une loi ferme. Face à cela, Maurice Berger montre que l'Etat, la Justice, des médias s'enferment dans un véritable déni, car ces jeunes ne sont plus ceux des années 1960, ce ne sont plus des enfants et ils peuvent désormais être auteurs de viols ou de meurtres avant l'âge de quinze ans. Tout a changé, la gravité des fautes, leur nature, leurs causes. Le Code pénal des mineurs est dès lors devenu hors-sujet et la situation présente ne s'est jamais vue dans notre histoire, où une montée de la violence extrême s'accompagne d'une érosion de la peine. Pour le docteur Berger, il faut retrouver un projet de société commun reposant sur le respect absolu de l'intégrité physique, cesser d'être idéologues, et faire le bon diagnostic : ce n'est pas toute la société qui devient violente mais seulement certains de ses membres et il n'y a pas de décivilisation puisque ceux qui sont en cause n'ont jamais été civilisés. La solution prioritaire à mettre en oeuvre est une véritable révolution pénale affirmant la nécessités d'interdits clairs et matérialisés. Mais il faut faire très vite, les mineurs violents deviennent des adultes violents et leur nombre est en train de nous submerger.