Microdurées. Le temps atomisé
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.248 kg
- Dimensions12,9 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7291-1999-7
- EAN9782729119997
- Date de parution18/10/2012
- CollectionLes essais
- ÉditeurLa Différence
Résumé
Dieu est mort et l'histoire moderne aussi, nous dit Georges Sebbag. La foi dans le progrès a disparu, la chronologie n'a plus cours, la flèche du temps s'est brisée. Le fil du temps a cédé la place au temps sans fil. Les hommes ne faisant plus l'histoire, les individus du grand nombre visionnent et fabriquent des microdurées. Ils ingèrent des clips, concoctent des vidéos en retouchant les images. Ainsi vibrionnent des myriades d'acteurs et de réalisateurs sur la scène ensorcelante de la planète.
Ainsi tourbillonnent des essaims de paillettes temporelles dans le for intérieur de chacun. La conscience historique s'est évaporée pour faire place au temps synthétique. Georges Sebbag décrit l'homme contemporain comme un individu euphorique et déprimé qui consomme avec frénésie des pastilles temporelles tout en dissimulant mal sa phobie du grand nombre.
Ainsi tourbillonnent des essaims de paillettes temporelles dans le for intérieur de chacun. La conscience historique s'est évaporée pour faire place au temps synthétique. Georges Sebbag décrit l'homme contemporain comme un individu euphorique et déprimé qui consomme avec frénésie des pastilles temporelles tout en dissimulant mal sa phobie du grand nombre.
Dieu est mort et l'histoire moderne aussi, nous dit Georges Sebbag. La foi dans le progrès a disparu, la chronologie n'a plus cours, la flèche du temps s'est brisée. Le fil du temps a cédé la place au temps sans fil. Les hommes ne faisant plus l'histoire, les individus du grand nombre visionnent et fabriquent des microdurées. Ils ingèrent des clips, concoctent des vidéos en retouchant les images. Ainsi vibrionnent des myriades d'acteurs et de réalisateurs sur la scène ensorcelante de la planète.
Ainsi tourbillonnent des essaims de paillettes temporelles dans le for intérieur de chacun. La conscience historique s'est évaporée pour faire place au temps synthétique. Georges Sebbag décrit l'homme contemporain comme un individu euphorique et déprimé qui consomme avec frénésie des pastilles temporelles tout en dissimulant mal sa phobie du grand nombre.
Ainsi tourbillonnent des essaims de paillettes temporelles dans le for intérieur de chacun. La conscience historique s'est évaporée pour faire place au temps synthétique. Georges Sebbag décrit l'homme contemporain comme un individu euphorique et déprimé qui consomme avec frénésie des pastilles temporelles tout en dissimulant mal sa phobie du grand nombre.