Mémoires de Leonard Smithers. Editeur, pornographe, libraire et collectionneur, traître aux dernières volontés de son ami Aubrey Beardsley, par fidélité à son oeuvre

Par : Didier Semin

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  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-35988-069-4
  • EAN9782359880694
  • Date de parution07/05/2012
  • CollectionAteliers imaginaires
  • ÉditeurScala

Résumé

Aubrey Beardsley est souvent regardé comme l'archétype de l'artiste britannique fin de siècle, dont l'oeuvre ne passionnerait qu'une poignée de dandys ou de "décadents". S'il fut bien un dandy, ce jeune homme, disparu à 25 ans, a surtout tracé les contours de cette esthétique qu'on a appelée Art nouveau. Son oeuvre a subi de violentes défaveurs, et des soudains retours en grâce, au cours du XXe siècle.
Converti tardivement au catholicisme, Beardsley demandera sur son lit de mort à son dernier éditeur de détruire "tous" ses "dessins obscènes", autrement dit quasiment tous ses dessins. Qui d'autre mieux que cet éditeur, Leonard Smithers, était à même de raconter l'histoire du jeune prodige ? On aurait aimé lire les mémoires qu'il n'a pas écrits.
Aubrey Beardsley est souvent regardé comme l'archétype de l'artiste britannique fin de siècle, dont l'oeuvre ne passionnerait qu'une poignée de dandys ou de "décadents". S'il fut bien un dandy, ce jeune homme, disparu à 25 ans, a surtout tracé les contours de cette esthétique qu'on a appelée Art nouveau. Son oeuvre a subi de violentes défaveurs, et des soudains retours en grâce, au cours du XXe siècle.
Converti tardivement au catholicisme, Beardsley demandera sur son lit de mort à son dernier éditeur de détruire "tous" ses "dessins obscènes", autrement dit quasiment tous ses dessins. Qui d'autre mieux que cet éditeur, Leonard Smithers, était à même de raconter l'histoire du jeune prodige ? On aurait aimé lire les mémoires qu'il n'a pas écrits.
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