Méditation et espace transitionnel. Réparer les liens

Par : Sylvie Portnoy Lanzenberg

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  • Nombre de pages90
  • PrésentationBroché
  • Poids0.111 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-336-41224-5
  • EAN9782336412245
  • Date de parution02/11/2023
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Maintenant, l'humain comprend qu'il a coupé la plupart des liens avec son environnement et tous les vivants dont sa vie dépend. Que faire ? Tout mettre en oeuvre pour nous relier au monde. A partir du texte de la méditation de base de Christophe André, l'auteure fait se croiser les pensées de D. Winnicott (auquel elle rend ici un nouvel hommage), de C. de Toledo et aussi de Jo Spiegel, y joignant bien sûr sa propre pensée.
La pratique méditative peut être considérée comme une activité transitionnelle, favorisant le renforcement d'un certain type de présence créative au monde grâce à la concentration sur le souffle. La pleine conscience et la pleine présence au corps et ses sensations cultivées en état de méditation ressembleraient à celles dans lesquelles est plongé l'enfant qui joue. C'est en observant les enfants que D.
Winnicott a créé ce concept d'espace transitionnel qui manquait jusque-là à notre entendement, ce lieu du relationnel où nous tissons tous nos échanges et où nous vivons la plupart du temps, ce lieu qu'il faut aujourd'hui reconnaître et réinvestir pleinement pour réparer tous les liens avec le vivant que nous avons déchirés par immaturité chronique.
Maintenant, l'humain comprend qu'il a coupé la plupart des liens avec son environnement et tous les vivants dont sa vie dépend. Que faire ? Tout mettre en oeuvre pour nous relier au monde. A partir du texte de la méditation de base de Christophe André, l'auteure fait se croiser les pensées de D. Winnicott (auquel elle rend ici un nouvel hommage), de C. de Toledo et aussi de Jo Spiegel, y joignant bien sûr sa propre pensée.
La pratique méditative peut être considérée comme une activité transitionnelle, favorisant le renforcement d'un certain type de présence créative au monde grâce à la concentration sur le souffle. La pleine conscience et la pleine présence au corps et ses sensations cultivées en état de méditation ressembleraient à celles dans lesquelles est plongé l'enfant qui joue. C'est en observant les enfants que D.
Winnicott a créé ce concept d'espace transitionnel qui manquait jusque-là à notre entendement, ce lieu du relationnel où nous tissons tous nos échanges et où nous vivons la plupart du temps, ce lieu qu'il faut aujourd'hui reconnaître et réinvestir pleinement pour réparer tous les liens avec le vivant que nous avons déchirés par immaturité chronique.