Mardi Gras
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 2 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 2 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.318 kg
- Dimensions15,3 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-36081-050-5
- EAN9782360810505
- Date de parution31/01/2013
- CollectionRaoul
- ÉditeurEditions Cornélius
Résumé
Des druides réunis en société secrète, des émules enthousiastes du Docteur Moreau qui remodèlent la chair vivante, un héros perpétuellement souriant qui lâche fous et estropiés en plein carnaval... Mardi Gras est un défilé conçu pour décevoir les masses. La foule était venue pour rigoler, elle repartira bien déçue. Qu'il prenne à de jeunes esthètes vêtus de noir la fantaisie de mettre en pratique le slogan d'André Breton en tirant au hasard dans la foule, et la société, effrayée, proteste.
La violence en art doit rester formelle, limitée à la provocation et au scandale. Il arrive que cette violence ritualisée touche jusqu'au corps, dernier refuge du sacré, ultime objet du scandale, qui se transforme alors en matériau comme les autres. Et Benoît Preteseille d'enrichir son musée imaginaire de pratiques artistiques naguère controversées : performances, tatouages, musique bruitiste et art corporel.
Comme dans L'Art et le Sang ou Maudit Victor, l'auteur dissimule derrière les codes du roman-feuilleton et le bric-à-brac de la Belle Epoque une réflexion cruelle sur l'Art et ses conventions. Beau ou laid ne sont que des mots. Démiurge à la Frankenstein, l'artiste va contre l'ordre, le dogme social ou religieux. Il ferraille du côté de la vie, de l'éphémère et du chaos. Alors peu importe le jugement que le public porte sur les monstres qu'il crée.
A ses yeux, ils sont beaux parce que vivants.
La violence en art doit rester formelle, limitée à la provocation et au scandale. Il arrive que cette violence ritualisée touche jusqu'au corps, dernier refuge du sacré, ultime objet du scandale, qui se transforme alors en matériau comme les autres. Et Benoît Preteseille d'enrichir son musée imaginaire de pratiques artistiques naguère controversées : performances, tatouages, musique bruitiste et art corporel.
Comme dans L'Art et le Sang ou Maudit Victor, l'auteur dissimule derrière les codes du roman-feuilleton et le bric-à-brac de la Belle Epoque une réflexion cruelle sur l'Art et ses conventions. Beau ou laid ne sont que des mots. Démiurge à la Frankenstein, l'artiste va contre l'ordre, le dogme social ou religieux. Il ferraille du côté de la vie, de l'éphémère et du chaos. Alors peu importe le jugement que le public porte sur les monstres qu'il crée.
A ses yeux, ils sont beaux parce que vivants.
Des druides réunis en société secrète, des émules enthousiastes du Docteur Moreau qui remodèlent la chair vivante, un héros perpétuellement souriant qui lâche fous et estropiés en plein carnaval... Mardi Gras est un défilé conçu pour décevoir les masses. La foule était venue pour rigoler, elle repartira bien déçue. Qu'il prenne à de jeunes esthètes vêtus de noir la fantaisie de mettre en pratique le slogan d'André Breton en tirant au hasard dans la foule, et la société, effrayée, proteste.
La violence en art doit rester formelle, limitée à la provocation et au scandale. Il arrive que cette violence ritualisée touche jusqu'au corps, dernier refuge du sacré, ultime objet du scandale, qui se transforme alors en matériau comme les autres. Et Benoît Preteseille d'enrichir son musée imaginaire de pratiques artistiques naguère controversées : performances, tatouages, musique bruitiste et art corporel.
Comme dans L'Art et le Sang ou Maudit Victor, l'auteur dissimule derrière les codes du roman-feuilleton et le bric-à-brac de la Belle Epoque une réflexion cruelle sur l'Art et ses conventions. Beau ou laid ne sont que des mots. Démiurge à la Frankenstein, l'artiste va contre l'ordre, le dogme social ou religieux. Il ferraille du côté de la vie, de l'éphémère et du chaos. Alors peu importe le jugement que le public porte sur les monstres qu'il crée.
A ses yeux, ils sont beaux parce que vivants.
La violence en art doit rester formelle, limitée à la provocation et au scandale. Il arrive que cette violence ritualisée touche jusqu'au corps, dernier refuge du sacré, ultime objet du scandale, qui se transforme alors en matériau comme les autres. Et Benoît Preteseille d'enrichir son musée imaginaire de pratiques artistiques naguère controversées : performances, tatouages, musique bruitiste et art corporel.
Comme dans L'Art et le Sang ou Maudit Victor, l'auteur dissimule derrière les codes du roman-feuilleton et le bric-à-brac de la Belle Epoque une réflexion cruelle sur l'Art et ses conventions. Beau ou laid ne sont que des mots. Démiurge à la Frankenstein, l'artiste va contre l'ordre, le dogme social ou religieux. Il ferraille du côté de la vie, de l'éphémère et du chaos. Alors peu importe le jugement que le public porte sur les monstres qu'il crée.
A ses yeux, ils sont beaux parce que vivants.