Le pèlerin russe, ouvrage du 19e siècle est un monument de la littérature russe comme de la littérature spirituelle, orthodoxe, certes, mais qui a su séduire bien au-delà de l'orient chrétien tous ceux qui par le monde sont dans une quête mystique, une soif de sagesse. Jean-Yves Leloup n'oublie pas son passé monastique ni son séjour au Mont-Athos en compagnie du père Séraphim où il a appris la prière des moines, la prière dans le souffle.
Car c'est bien de l'apprentissage de la prière ininterrompue dont il est question, plier au large, à la recherche de la bonne assise, du souffle juste, à la rencontre des Béatitudes et de la Samaritaine. Qui mieux que lui peut nous emmener sur les chemins à la suite de ce pèlerin russe à la recherche du sens de la phrase de l'Apôtre : "il faut plier sans cesse". Le secret est au bout du chemin, dans la révélation qui lui est faite.
Le pèlerin russe, ouvrage du 19e siècle est un monument de la littérature russe comme de la littérature spirituelle, orthodoxe, certes, mais qui a su séduire bien au-delà de l'orient chrétien tous ceux qui par le monde sont dans une quête mystique, une soif de sagesse. Jean-Yves Leloup n'oublie pas son passé monastique ni son séjour au Mont-Athos en compagnie du père Séraphim où il a appris la prière des moines, la prière dans le souffle.
Car c'est bien de l'apprentissage de la prière ininterrompue dont il est question, plier au large, à la recherche de la bonne assise, du souffle juste, à la rencontre des Béatitudes et de la Samaritaine. Qui mieux que lui peut nous emmener sur les chemins à la suite de ce pèlerin russe à la recherche du sens de la phrase de l'Apôtre : "il faut plier sans cesse". Le secret est au bout du chemin, dans la révélation qui lui est faite.