Manger au Moyen Age. Pratiques et discours alimentaires en Europe au XIVe et XVe siècles

Par : Bruno Laurioux
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  • Nombre de pages298
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.264 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-8185-0363-8
  • EAN9782818503638
  • Date de parution04/09/2013
  • CollectionPluriel
  • ÉditeurHachette Pluriel

Résumé

L'alimentation médiévale est un monde disparu de saveurs et d'odeurs. Pour le retrouver, l'auteur scrute les recettes laissées par les maîtres queux du roi qui nous dévoilent la richesse des ingrédients utilisés dans les cuisines royales : plats épicés et plats colorés dominent les tables et les repas. Il se réfère également aux fouilles archéologiques restituant la cuisine-salle à manger des paysans.
Et reconstitue ainsi pour nous l'imaginaire culinaire de nos ancêtres et les diverses pratiques liées à la préparation des repas. En la matière, le Moyen Age est synonyme de diversité : par la quantité et la qualité de ce qu'il mange, et par la manière dont il le mange, le noble se distingue du pauvre, le clerc du laïc, l'Anglais du Français et le Gascon du Flamand. Aux XIVe et XVe siècles, manger n'est pas seulement une nécessité : c'est aussi, déjà, un plaisir.
L'alimentation médiévale est un monde disparu de saveurs et d'odeurs. Pour le retrouver, l'auteur scrute les recettes laissées par les maîtres queux du roi qui nous dévoilent la richesse des ingrédients utilisés dans les cuisines royales : plats épicés et plats colorés dominent les tables et les repas. Il se réfère également aux fouilles archéologiques restituant la cuisine-salle à manger des paysans.
Et reconstitue ainsi pour nous l'imaginaire culinaire de nos ancêtres et les diverses pratiques liées à la préparation des repas. En la matière, le Moyen Age est synonyme de diversité : par la quantité et la qualité de ce qu'il mange, et par la manière dont il le mange, le noble se distingue du pauvre, le clerc du laïc, l'Anglais du Français et le Gascon du Flamand. Aux XIVe et XVe siècles, manger n'est pas seulement une nécessité : c'est aussi, déjà, un plaisir.