Mai 68, les écrivains, la littérature

Par : Patrick Combes
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  • Nombre de pages350
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.502 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-296-06340-2
  • EAN9782296063402
  • Date de parution01/10/2008
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Mai 68, "crise de civilisation" ou entreprise anticulturelle ? Mouvement progressiste, psychodrame, révolution culturelle, illusion lyrique ? Les thèses s'affrontent aujourd'hui encore, sans pouvoir nier seulement que cette crise continue de nourrir l'imaginaire collectif, comme notre actualité. Cet essai atteste de la présence du littéraire, des écrivains en mai-juin - et invite à s'interroger, sans exclusive ni dogmatisme, sur la large relation qu'entretiennent alors littérature et politique, littérature et idéologie, le citoyen, le texte, l'Histoire.
La littérature, l'écriture, et les forces de liberté qu'elles mettent en oeuvre, sortent non pas appauvries des "événements" mais au contraire plus nécessaires et productives. Réactions et regroupements d'écrivains, production scripturale et romanesque, mythes, critique du littéraire, de son enseignement, genèse et pérennité de Mai sont librement étudiés. "Assez d'actes, des mots !" proclamait une savoureuse et paradoxale inscription murale du printemps 68.
En voici quelques-uns.
Mai 68, "crise de civilisation" ou entreprise anticulturelle ? Mouvement progressiste, psychodrame, révolution culturelle, illusion lyrique ? Les thèses s'affrontent aujourd'hui encore, sans pouvoir nier seulement que cette crise continue de nourrir l'imaginaire collectif, comme notre actualité. Cet essai atteste de la présence du littéraire, des écrivains en mai-juin - et invite à s'interroger, sans exclusive ni dogmatisme, sur la large relation qu'entretiennent alors littérature et politique, littérature et idéologie, le citoyen, le texte, l'Histoire.
La littérature, l'écriture, et les forces de liberté qu'elles mettent en oeuvre, sortent non pas appauvries des "événements" mais au contraire plus nécessaires et productives. Réactions et regroupements d'écrivains, production scripturale et romanesque, mythes, critique du littéraire, de son enseignement, genèse et pérennité de Mai sont librement étudiés. "Assez d'actes, des mots !" proclamait une savoureuse et paradoxale inscription murale du printemps 68.
En voici quelques-uns.