Machinations. Anthropologie des milieux techniques
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- Nombre de pages444
- PrésentationBroché
- Poids0.614 kg
- Dimensions15,8 cm × 21,0 cm × 3,6 cm
- ISBN978-2-87673-889-8
- EAN9782876738898
- Date de parution21/06/2013
- CollectionMilieux
- ÉditeurChamp Vallon
Résumé
Ce second volume de l'Anthropologie des milieux techniques est en miroir du premier intitulé Engrenages, où on a considéré de préférence les activités machiniques "en situation matérielle". Machinations se consacre à leurs langages, classifications, représentations, imaginaires, ce qu'on dit des "techniques" et ce qu'elles-mêmes nous disent. D'où quatre parties, comme dans Engrenages, chacune illustrée d'un exemple : 1 ; les milieux, les objets, les métiers, l'industrie, le travail en difficultés, l'invention, le bricolage ; 2 ; a philosophique antique, classique, l'enseignement et la fiction, les techniques orientales ; 3 ; la médiatisation, l'habitation traditionnelle, l'utopie urbaine, la pollution et le recyclage ; 4 ; l'automatisation, le hasard, le ,jeu, l'art et la machine.
Ces questions engagent une analyse historique et contemporaine du sens de la "condition technique" et l'hypothèse d'un sujet technique spécifique. Dans une approche anthropologique critique, on rencontre des débats actuels mais éternels concernant le corps, l'éthique, le rapport sécuritaire à la vie et à la nature, les ambiguïtés de la technoscience, les responsabilités des pouvoirs, les méfaits de l'ignorance.
L'histoire des machines, en particulier aux XVIIIe et XIXe siècles, intervient ainsi que l'évolution des"mentalités", de l'outil au numérique : celles du créateur, du décideur, du responsable et de l'"homme ordinaire". Les termes Machinations et Stratégies supposent que la "machine" devienne l'otage et le fantôme de ce qu'on nomme "technologie" : plus nous en usons et moins nous la comprenons. Ce qui conditionne le rapport difficile aux autres et à nous-mêmes, en un milieu technique qui garderait ainsi une part de mystère.
Peut-on envisager la connaissance et la culture en général sans prendre en compte cette question ?
Ces questions engagent une analyse historique et contemporaine du sens de la "condition technique" et l'hypothèse d'un sujet technique spécifique. Dans une approche anthropologique critique, on rencontre des débats actuels mais éternels concernant le corps, l'éthique, le rapport sécuritaire à la vie et à la nature, les ambiguïtés de la technoscience, les responsabilités des pouvoirs, les méfaits de l'ignorance.
L'histoire des machines, en particulier aux XVIIIe et XIXe siècles, intervient ainsi que l'évolution des"mentalités", de l'outil au numérique : celles du créateur, du décideur, du responsable et de l'"homme ordinaire". Les termes Machinations et Stratégies supposent que la "machine" devienne l'otage et le fantôme de ce qu'on nomme "technologie" : plus nous en usons et moins nous la comprenons. Ce qui conditionne le rapport difficile aux autres et à nous-mêmes, en un milieu technique qui garderait ainsi une part de mystère.
Peut-on envisager la connaissance et la culture en général sans prendre en compte cette question ?
Ce second volume de l'Anthropologie des milieux techniques est en miroir du premier intitulé Engrenages, où on a considéré de préférence les activités machiniques "en situation matérielle". Machinations se consacre à leurs langages, classifications, représentations, imaginaires, ce qu'on dit des "techniques" et ce qu'elles-mêmes nous disent. D'où quatre parties, comme dans Engrenages, chacune illustrée d'un exemple : 1 ; les milieux, les objets, les métiers, l'industrie, le travail en difficultés, l'invention, le bricolage ; 2 ; a philosophique antique, classique, l'enseignement et la fiction, les techniques orientales ; 3 ; la médiatisation, l'habitation traditionnelle, l'utopie urbaine, la pollution et le recyclage ; 4 ; l'automatisation, le hasard, le ,jeu, l'art et la machine.
Ces questions engagent une analyse historique et contemporaine du sens de la "condition technique" et l'hypothèse d'un sujet technique spécifique. Dans une approche anthropologique critique, on rencontre des débats actuels mais éternels concernant le corps, l'éthique, le rapport sécuritaire à la vie et à la nature, les ambiguïtés de la technoscience, les responsabilités des pouvoirs, les méfaits de l'ignorance.
L'histoire des machines, en particulier aux XVIIIe et XIXe siècles, intervient ainsi que l'évolution des"mentalités", de l'outil au numérique : celles du créateur, du décideur, du responsable et de l'"homme ordinaire". Les termes Machinations et Stratégies supposent que la "machine" devienne l'otage et le fantôme de ce qu'on nomme "technologie" : plus nous en usons et moins nous la comprenons. Ce qui conditionne le rapport difficile aux autres et à nous-mêmes, en un milieu technique qui garderait ainsi une part de mystère.
Peut-on envisager la connaissance et la culture en général sans prendre en compte cette question ?
Ces questions engagent une analyse historique et contemporaine du sens de la "condition technique" et l'hypothèse d'un sujet technique spécifique. Dans une approche anthropologique critique, on rencontre des débats actuels mais éternels concernant le corps, l'éthique, le rapport sécuritaire à la vie et à la nature, les ambiguïtés de la technoscience, les responsabilités des pouvoirs, les méfaits de l'ignorance.
L'histoire des machines, en particulier aux XVIIIe et XIXe siècles, intervient ainsi que l'évolution des"mentalités", de l'outil au numérique : celles du créateur, du décideur, du responsable et de l'"homme ordinaire". Les termes Machinations et Stratégies supposent que la "machine" devienne l'otage et le fantôme de ce qu'on nomme "technologie" : plus nous en usons et moins nous la comprenons. Ce qui conditionne le rapport difficile aux autres et à nous-mêmes, en un milieu technique qui garderait ainsi une part de mystère.
Peut-on envisager la connaissance et la culture en général sans prendre en compte cette question ?