Lettres d'Alice Domon. Une disparue d'Argentine

Par : Diana Beatriz Viñoles

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  • Nombre de pages184
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-8111-1611-8
  • EAN9782811116118
  • Date de parution01/03/2016
  • CollectionSignes des Temps
  • ÉditeurKarthala
  • TraducteurBertrand Jégouzo
  • PostfacierGaby Etchebarne

Résumé

En décembre 2016, cela fera trente-neuf ans qu'Alice Domon (Cathy en religion) a été assassinée à Buenos Aires, pour s'être solidarisée avec les Mères de la place de Mai. C'était au temps de la dictature initiée par le coup d'Etat militaire de 1976. Un an auparavant, Alice Domon avait quitté sa congrégation, car, par ces temps de persécution, elle ne voulait d'aucun privilège. En cette année 1977, elle était devenue secrétaire du mouvement oecuménique des droits de l'homme.
Elle s'activait avec ses amies pour retrouver les gens séquestrés ou disparus. Pourquoi publier aujourd'hui la correspondance de cette religieuse française qui avait rejoint l'Argentine en 1967, avec plusieurs de ses compagnes ? Par-delà les années, ces lettres nous font découvrir la personnalité et l'itinéraire d'une femme-témoin. "Vous serez surpris, écrit Gabrielle Etchebarne dans sa postface, de la joie, de l'enthousiasme et finalement du bonheur que Cathy trouve auprès de populations souffrantes, allant vers ceux qui avaient le plus besoin d'elle, tels les enfants déficients mentaux profonds, les habitants du bidonville, les petits paysans exploités par des patrons et enfin auprès des Mères de la place de Mai.
Elle souffre de leurs souffrances, elle a faim, elle est persécutée, elle se bat avec eux pour la libération, mais elle répète du début à la fin qu'elle est heureuse d'être avec eux". Cette correspondance avec sa famille et ses proches est un vrai joyau. Le lecteur y découvrira comment les engagements d'Alice Domon deviennent de plus en plus forts. Elle raconte ce qu'elle vit tous les jours, sans se mettre en situation de leader.
Chez elle, le coeur prime sur l'analyse. Le sens de l'humain, la connaissance par l'empathie, l'émerveillement traversent ces lettres.
En décembre 2016, cela fera trente-neuf ans qu'Alice Domon (Cathy en religion) a été assassinée à Buenos Aires, pour s'être solidarisée avec les Mères de la place de Mai. C'était au temps de la dictature initiée par le coup d'Etat militaire de 1976. Un an auparavant, Alice Domon avait quitté sa congrégation, car, par ces temps de persécution, elle ne voulait d'aucun privilège. En cette année 1977, elle était devenue secrétaire du mouvement oecuménique des droits de l'homme.
Elle s'activait avec ses amies pour retrouver les gens séquestrés ou disparus. Pourquoi publier aujourd'hui la correspondance de cette religieuse française qui avait rejoint l'Argentine en 1967, avec plusieurs de ses compagnes ? Par-delà les années, ces lettres nous font découvrir la personnalité et l'itinéraire d'une femme-témoin. "Vous serez surpris, écrit Gabrielle Etchebarne dans sa postface, de la joie, de l'enthousiasme et finalement du bonheur que Cathy trouve auprès de populations souffrantes, allant vers ceux qui avaient le plus besoin d'elle, tels les enfants déficients mentaux profonds, les habitants du bidonville, les petits paysans exploités par des patrons et enfin auprès des Mères de la place de Mai.
Elle souffre de leurs souffrances, elle a faim, elle est persécutée, elle se bat avec eux pour la libération, mais elle répète du début à la fin qu'elle est heureuse d'être avec eux". Cette correspondance avec sa famille et ses proches est un vrai joyau. Le lecteur y découvrira comment les engagements d'Alice Domon deviennent de plus en plus forts. Elle raconte ce qu'elle vit tous les jours, sans se mettre en situation de leader.
Chez elle, le coeur prime sur l'analyse. Le sens de l'humain, la connaissance par l'empathie, l'émerveillement traversent ces lettres.