Prosper Mérimée est né en septembre 1803 à Paris. Il est mort à Cannes en septembre 1870. D’origine française, il est un archéologue, un écrivain et un historien. Il a fait de longues études et est non seulement titulaire d’une licence en droit, mais aussi détenteur d’un certificat musical de fin d’études. Il maîtrise l’anglais, l’arabe, le grec et le russe. Les parents de Prosper disposent d’un solide bagage littéraire et intellectuel qui lui a permis de porter un certain intérêt à la littérature.
Dès 1825, il commence à publier ses premières œuvres. « La Vénus d'Ille » est l’une de ses nouvelles les plus fameuses. L’action se déroule sur Ille-sur-Têt, une ville dans le département des Pyrénées Orientales. Elle met en scène le narrateur (un archéologue), M. de Peyrehorade et sa femme, Alphonse de Peyrehorade ainsi que la Statue de Vénus. Ici, l’auteur nous plonge au cœur de l’histoire fantastique, imaginaire et intrigante d’une statue. Cette statue semble être à l’origine d’accidents, existe-t-il une explication rationnelle à ce phénomène ?
Sensible et émotionnel, Prosper Mérimée n’hésite pas à aborder des thèmes comme la femme, l’amour ou la nature dans ses œuvres. C’est le cas dans l’ouvrage « La perle de Tolède ». C’est une histoire passionnante que vous prendrez beaucoup de plaisir à lire.
Lettres à Madame de La Rochejaquelein
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- Nombre de pages484
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.78 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,7 cm
- ISBN978-2-84830-257-7
- EAN9782848302577
- Date de parution01/04/2024
- ÉditeurEuredit
- CompilateurThierry Ozwald
Résumé
Mérimée vient de passer la cinquantaine quand il croise la route, probablement à Paris, dans le salon de Mrs. Childe, de Félicie de Durfort de Duras (1798-1883), épouse en secondes noces dAuguste du Vergier de La Rochejaquelein, le balafré de la Moskowa. Celle-ci le contacte, en 1854, au sujet de la restauration du château de Chinon. Très vite débute une correspondance abordant de tout autres sujets, en particulier la conversion de Mérimée au christianisme, délibérément et ardemment recherchée par la catholique fervente qui, durant quatre années intenses, ne ménage pas sa peine pour parvenir à ses fins. En vain. Mais Mérimée tombe sous le charme de cette aventurière romanesque à souhait, mariée à 14 ans, veuve à 17, remariée à 19, aristocrate éprise dart, de vertu et de poésie guerrière, vivant sa vie comme un roman de Walter Scott, digne fille daïeux qui ont payé un lourd tribut à la barbarie de la Révolution et qui mène un combat inlassable au nom des Bourbons pour la sainte cause légitimiste. Pasionaria vendéenne, intrépide amazone, toujours par les chemins, proche de la duchesse de Berry, adepte de la chasse à courre et montant ses chevaux à cru, ?lhéroïque comtesse na rien à envier à ses illustres devancières, Jeanne de Belleville, Mathilde de Toscane... ou encore, plus près delle, Anne de Rochechouart, Lady Mary Montagu ou Lady Hester Stanhope.
Mérimée vient de passer la cinquantaine quand il croise la route, probablement à Paris, dans le salon de Mrs. Childe, de Félicie de Durfort de Duras (1798-1883), épouse en secondes noces dAuguste du Vergier de La Rochejaquelein, le balafré de la Moskowa. Celle-ci le contacte, en 1854, au sujet de la restauration du château de Chinon. Très vite débute une correspondance abordant de tout autres sujets, en particulier la conversion de Mérimée au christianisme, délibérément et ardemment recherchée par la catholique fervente qui, durant quatre années intenses, ne ménage pas sa peine pour parvenir à ses fins. En vain. Mais Mérimée tombe sous le charme de cette aventurière romanesque à souhait, mariée à 14 ans, veuve à 17, remariée à 19, aristocrate éprise dart, de vertu et de poésie guerrière, vivant sa vie comme un roman de Walter Scott, digne fille daïeux qui ont payé un lourd tribut à la barbarie de la Révolution et qui mène un combat inlassable au nom des Bourbons pour la sainte cause légitimiste. Pasionaria vendéenne, intrépide amazone, toujours par les chemins, proche de la duchesse de Berry, adepte de la chasse à courre et montant ses chevaux à cru, ?lhéroïque comtesse na rien à envier à ses illustres devancières, Jeanne de Belleville, Mathilde de Toscane... ou encore, plus près delle, Anne de Rochechouart, Lady Mary Montagu ou Lady Hester Stanhope.