Lettre à mon père. Le fardeau d'amour
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- Nombre de pages246
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.325 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,6 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-918394-77-8
- EAN9782918394778
- Date de parution21/10/2020
- ÉditeurEditions des crépuscules
Résumé
L'idée m'est venue, tardivement, d'écrire une lettre à mon père. Il est décédé dans un accident, j'avais trois ans, un mois, 17 jours. J'ai voulu lui raconter ma vie. D'ascendance bretonne et celtique, j'ai trouvé dans le nom que je porte, la ligne de vie qui a ancré mon destin. Après une psychanalyse, après un divorce qui me laissait seule, avec mes trois enfants jeunes encore, face à un monde masculin qui sait être cruel quand il traque la prétention à l'autonomie d'une femme.
Je souhaitais sans doute renouer des liens, ultimement, avec une ascendance qui me ferait moins orpheline en perdition dans un monde, le mien, où "le trépas, nécessité unique, père de la douleur, rien d'autre, rien de plus" offre encore aujourd'hui, à tous les Bretons de souche, d'adoption et à tous ceux qui en sont informés, un ancrage qui est en même temps un tremplin pour travailler au triomphe de la vie.
Je souhaitais sans doute renouer des liens, ultimement, avec une ascendance qui me ferait moins orpheline en perdition dans un monde, le mien, où "le trépas, nécessité unique, père de la douleur, rien d'autre, rien de plus" offre encore aujourd'hui, à tous les Bretons de souche, d'adoption et à tous ceux qui en sont informés, un ancrage qui est en même temps un tremplin pour travailler au triomphe de la vie.
L'idée m'est venue, tardivement, d'écrire une lettre à mon père. Il est décédé dans un accident, j'avais trois ans, un mois, 17 jours. J'ai voulu lui raconter ma vie. D'ascendance bretonne et celtique, j'ai trouvé dans le nom que je porte, la ligne de vie qui a ancré mon destin. Après une psychanalyse, après un divorce qui me laissait seule, avec mes trois enfants jeunes encore, face à un monde masculin qui sait être cruel quand il traque la prétention à l'autonomie d'une femme.
Je souhaitais sans doute renouer des liens, ultimement, avec une ascendance qui me ferait moins orpheline en perdition dans un monde, le mien, où "le trépas, nécessité unique, père de la douleur, rien d'autre, rien de plus" offre encore aujourd'hui, à tous les Bretons de souche, d'adoption et à tous ceux qui en sont informés, un ancrage qui est en même temps un tremplin pour travailler au triomphe de la vie.
Je souhaitais sans doute renouer des liens, ultimement, avec une ascendance qui me ferait moins orpheline en perdition dans un monde, le mien, où "le trépas, nécessité unique, père de la douleur, rien d'autre, rien de plus" offre encore aujourd'hui, à tous les Bretons de souche, d'adoption et à tous ceux qui en sont informés, un ancrage qui est en même temps un tremplin pour travailler au triomphe de la vie.