Les rites et usages funéraires : essais d'anthropologie juridique
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- Nombre de pages295
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.48 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7314-1126-3
- EAN9782731411263
- Date de parution01/03/2019
- CollectionDroit et religions
- ÉditeurPU Aix-Marseille
Résumé
Les cérémonies mortuaires, les opérations liées aux sépultures et le culte des morts relèvent la plupart du temps de la religion. En France, malgré l'affirmation d'une République laïque, en dépit des principes issus de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat du 9 décembre 1905 et de la fin du monopole de la religion en matière funéraire, la mort reste un sujet saisi par les religions. Cette situation repose sur l'expression d'une croyance liée au devoir dû aux morts.
Si cette croyance dépasse même les religions au sens premier du terme pour s'étendre à d'autres pratiques et traditions, en d'autres parties du monde, elle demeure essentielle dans l'appréhension même de la mort. Cette croyance, les pratiques et traditions qui en résultent, mettent ainsi en place des rites et usages funéraires qui appellent aujourd'hui un ensemble de questionnements et de réflexions dans un contexte mouvant de globalisations culturelles et financières et d'un retour des identités collectives autant qu'individuelles.
L'objet de cet ouvrage est ainsi de confronter cet événement qu'est la mort comme fait juridique, mais suivant une approche sociale, culturelle ou symbolique. Rassemblant un ensemble de contributions de chercheurs francophones (belges, canadiens, congolais, français, rwandais et suisses), cet ouvrage propose des lectures diversifiées sur les droits de la mort dans l'Histoire, Les droits civils et la mort, les droits religieux et la mort ou encore les ailleurs de la mort.
Si cette croyance dépasse même les religions au sens premier du terme pour s'étendre à d'autres pratiques et traditions, en d'autres parties du monde, elle demeure essentielle dans l'appréhension même de la mort. Cette croyance, les pratiques et traditions qui en résultent, mettent ainsi en place des rites et usages funéraires qui appellent aujourd'hui un ensemble de questionnements et de réflexions dans un contexte mouvant de globalisations culturelles et financières et d'un retour des identités collectives autant qu'individuelles.
L'objet de cet ouvrage est ainsi de confronter cet événement qu'est la mort comme fait juridique, mais suivant une approche sociale, culturelle ou symbolique. Rassemblant un ensemble de contributions de chercheurs francophones (belges, canadiens, congolais, français, rwandais et suisses), cet ouvrage propose des lectures diversifiées sur les droits de la mort dans l'Histoire, Les droits civils et la mort, les droits religieux et la mort ou encore les ailleurs de la mort.
Les cérémonies mortuaires, les opérations liées aux sépultures et le culte des morts relèvent la plupart du temps de la religion. En France, malgré l'affirmation d'une République laïque, en dépit des principes issus de la loi de séparation des Eglises et de l'Etat du 9 décembre 1905 et de la fin du monopole de la religion en matière funéraire, la mort reste un sujet saisi par les religions. Cette situation repose sur l'expression d'une croyance liée au devoir dû aux morts.
Si cette croyance dépasse même les religions au sens premier du terme pour s'étendre à d'autres pratiques et traditions, en d'autres parties du monde, elle demeure essentielle dans l'appréhension même de la mort. Cette croyance, les pratiques et traditions qui en résultent, mettent ainsi en place des rites et usages funéraires qui appellent aujourd'hui un ensemble de questionnements et de réflexions dans un contexte mouvant de globalisations culturelles et financières et d'un retour des identités collectives autant qu'individuelles.
L'objet de cet ouvrage est ainsi de confronter cet événement qu'est la mort comme fait juridique, mais suivant une approche sociale, culturelle ou symbolique. Rassemblant un ensemble de contributions de chercheurs francophones (belges, canadiens, congolais, français, rwandais et suisses), cet ouvrage propose des lectures diversifiées sur les droits de la mort dans l'Histoire, Les droits civils et la mort, les droits religieux et la mort ou encore les ailleurs de la mort.
Si cette croyance dépasse même les religions au sens premier du terme pour s'étendre à d'autres pratiques et traditions, en d'autres parties du monde, elle demeure essentielle dans l'appréhension même de la mort. Cette croyance, les pratiques et traditions qui en résultent, mettent ainsi en place des rites et usages funéraires qui appellent aujourd'hui un ensemble de questionnements et de réflexions dans un contexte mouvant de globalisations culturelles et financières et d'un retour des identités collectives autant qu'individuelles.
L'objet de cet ouvrage est ainsi de confronter cet événement qu'est la mort comme fait juridique, mais suivant une approche sociale, culturelle ou symbolique. Rassemblant un ensemble de contributions de chercheurs francophones (belges, canadiens, congolais, français, rwandais et suisses), cet ouvrage propose des lectures diversifiées sur les droits de la mort dans l'Histoire, Les droits civils et la mort, les droits religieux et la mort ou encore les ailleurs de la mort.