Tout comme Reuben, ce personnage totalement flippé dans "Polly et moi", Pétula examine les risques de chaque action qu'elle envisage afin de savoir si elle peut se permettre de l'effectuer.
Par exemple, même si c'est le plus court chemin pour aller au lycée, il est impensable pour elle de passer devant le chantier en cours depuis qu'elle a lu qu'une jeune femme était décédée à la suite d'une chute de plaque de métal en marchant devant un chantier. Impossible également de ne pas se laver les mains frénétiquement après avoir touché quelqu'un, parce qu'il faut absolument éliminer tous ces microbes !
Ajoutez à cela une hyper émotivité, et un comportement plutôt asocial, et vous aurez une vague idée de la vie étrange que Pétula mène.
Cela ne risque pas de s'arranger avec le club d'Art-Psy dont elle fait partie, où elle ne côtoie que des gens aussi dérangés qu'elle. Jusqu'à ce que Jacob arrive en tout cas. Parce que celui-là, à part sa main bionique, il a l'air plutôt normal. Son truc à lui, c'est la réalisation cinématographique. Et petit à petit, peut-être que ses films réussiront à les guérir un peu, mieux que ne l'auraient fait les collages/pliages proposés par l'animatrice d'Art-Psy.
Touchant et pas mièvre pour un sou, un joli livre à lire ou à offrir pour les amateurs de John Green.
Tout comme Reuben, ce personnage totalement flippé dans "Polly et moi", Pétula examine les risques de chaque action qu'elle envisage afin de savoir si elle peut se permettre de l'effectuer.
Par exemple, même si c'est le plus court chemin pour aller au lycée, il est impensable pour elle de passer devant le chantier en cours depuis qu'elle a lu qu'une jeune femme était décédée à la suite d'une chute de plaque de métal en marchant devant un chantier. Impossible également de ne pas se laver les mains frénétiquement après avoir touché quelqu'un, parce qu'il faut absolument éliminer tous ces microbes !
Ajoutez à cela une hyper émotivité, et un comportement plutôt asocial, et vous aurez une vague idée de la vie étrange que Pétula mène.
Cela ne risque pas de s'arranger avec le club d'Art-Psy dont elle fait partie, où elle ne côtoie que des gens aussi dérangés qu'elle. Jusqu'à ce que Jacob arrive en tout cas. Parce que celui-là, à part sa main bionique, il a l'air plutôt normal. Son truc à lui, c'est la réalisation cinématographique. Et petit à petit, peut-être que ses films réussiront à les guérir un peu, mieux que ne l'auraient fait les collages/pliages proposés par l'animatrice d'Art-Psy.
Touchant et pas mièvre pour un sou, un joli livre à lire ou à offrir pour les amateurs de John Green.