Les normes de la bioéthique et l'Afrique

Par : Ibrahim Gueye

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 11 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages426
  • PrésentationBroché
  • Poids0.685 kg
  • Dimensions15,7 cm × 23,9 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-296-96335-1
  • EAN9782296963351
  • Date de parution01/03/2012
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierGérard Teboul

Résumé

Présenter, fût-ce de manière non exhaustive, le droit positif qui, dans le domaine de la bioéthique, fait autorité en Afrique : tel est l'objet de cet ouvrage qui propose des analyses de nature comparative et internationale. L'approche comparative permet de présenter les normes de droit national qui s'affirment progressivement dans l'ordre juridique interne des Etats africains. A cet égard, l'étude des normes, énoncées dans les actes constitutionnels et infra-constitutionnels des Etats africains, permet de mettre en exergue des règles communes, notamment le principe du respect de la dignité humaine et le principe de l'inviolabilité de la personne humaine.
Au-delà, s'agissant de la formation des normes, l'influence exercée par le facteur religieux (place de l'islam, de la chrétienté et du judaïsme) et le poids tenu par les traditions africaines sont plus particulièrement soulignés. L'approche internationale invite le lecteur à entrer dans l'univers d'une organisation internationale ("L'Organisation de l'unité africaine") qui, à travers la déclaration de Yaoundé adoptée en 1996, sut s'emparer des thématiques bioéthiques alors naissantes.
Mais cette déclaration ne saurait masquer l'importance tenue par la production conventionnelle relative aux droits de la personne humaine en Afrique et qui concerne la bioéthique, sans la prendre pour objet. A cc sujet, les instruments régionaux sont étudiés à l'aune des textes universels (émanant de l'UNESCO et de l'OMS) que les Etats d'Afrique ont cautionnés. En soulignant la force, mais aussi les faiblesses, de la Déclaration sur la bioéthique de 1996, ce livre appelle à la formation d'une convention africaine sur la bioéthique et les droits de la personne humaine.
Sous ce rapport, il est le vecteur d'une réflexion qui, s'inscrivant dans la ligne tracée par d'autres auteurs, s'efforce de promouvoir le droit continental de la bioéthique.
Présenter, fût-ce de manière non exhaustive, le droit positif qui, dans le domaine de la bioéthique, fait autorité en Afrique : tel est l'objet de cet ouvrage qui propose des analyses de nature comparative et internationale. L'approche comparative permet de présenter les normes de droit national qui s'affirment progressivement dans l'ordre juridique interne des Etats africains. A cet égard, l'étude des normes, énoncées dans les actes constitutionnels et infra-constitutionnels des Etats africains, permet de mettre en exergue des règles communes, notamment le principe du respect de la dignité humaine et le principe de l'inviolabilité de la personne humaine.
Au-delà, s'agissant de la formation des normes, l'influence exercée par le facteur religieux (place de l'islam, de la chrétienté et du judaïsme) et le poids tenu par les traditions africaines sont plus particulièrement soulignés. L'approche internationale invite le lecteur à entrer dans l'univers d'une organisation internationale ("L'Organisation de l'unité africaine") qui, à travers la déclaration de Yaoundé adoptée en 1996, sut s'emparer des thématiques bioéthiques alors naissantes.
Mais cette déclaration ne saurait masquer l'importance tenue par la production conventionnelle relative aux droits de la personne humaine en Afrique et qui concerne la bioéthique, sans la prendre pour objet. A cc sujet, les instruments régionaux sont étudiés à l'aune des textes universels (émanant de l'UNESCO et de l'OMS) que les Etats d'Afrique ont cautionnés. En soulignant la force, mais aussi les faiblesses, de la Déclaration sur la bioéthique de 1996, ce livre appelle à la formation d'une convention africaine sur la bioéthique et les droits de la personne humaine.
Sous ce rapport, il est le vecteur d'une réflexion qui, s'inscrivant dans la ligne tracée par d'autres auteurs, s'efforce de promouvoir le droit continental de la bioéthique.