Les mystères au IIe siècle de notre ère : un tournant
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- Nombre de pages592
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1 kg
- Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-503-59459-0
- EAN9782503594590
- Date de parution12/04/2021
- CollectionBibliothèque de l'Ecole
- ÉditeurBrepols
Résumé
Cet ouvrage enquête sur ce que nous proposons d'appeler une " mystérisation " des discours et des pratiques au IIe siècle de notre ère dans l'empire romain – c'est-à-dire une multiplication, diversification et intensification des références aux (cultes à) " mystères " dans des contextes variés mais cohérents, et dans les différents groupes religieux présents dans l'empire (païens, juifs et chrétiens).
Ce " tournant " mystérique affecte non seulement des pratiques rituelles et les discours qui les entourent, mais, au-delà, de nombreux domaines du savoir qui, comme Platon en son temps, se mettent à mobiliser le vocabulaire et l'imagerie des mystères. L'enquête se déploie donc à la fois sur le terrain des rituels " mystériques " – dans des cultes qui se diffusent comme ceux d'Isis ou de Mater Magna, parallèlement à la continuation des mystères grecs (à Eleusis et Samothrace) –, et sur celui de la construction des savoirs de tous ordres qui s'élabore alors (médecine, philosophie, rhétorique, littérature), et où se banalise l'emploi d'un lexique mystérique.
Elle réunit donc des collègues spécialistes de champs disciplinaires variés – historiens, historiens des religions, archéologues, philologues, et bien sûr philosophes –, et de systèmes religieux différents – polythéisme, judaïsme et christianisme.
Ce " tournant " mystérique affecte non seulement des pratiques rituelles et les discours qui les entourent, mais, au-delà, de nombreux domaines du savoir qui, comme Platon en son temps, se mettent à mobiliser le vocabulaire et l'imagerie des mystères. L'enquête se déploie donc à la fois sur le terrain des rituels " mystériques " – dans des cultes qui se diffusent comme ceux d'Isis ou de Mater Magna, parallèlement à la continuation des mystères grecs (à Eleusis et Samothrace) –, et sur celui de la construction des savoirs de tous ordres qui s'élabore alors (médecine, philosophie, rhétorique, littérature), et où se banalise l'emploi d'un lexique mystérique.
Elle réunit donc des collègues spécialistes de champs disciplinaires variés – historiens, historiens des religions, archéologues, philologues, et bien sûr philosophes –, et de systèmes religieux différents – polythéisme, judaïsme et christianisme.
Cet ouvrage enquête sur ce que nous proposons d'appeler une " mystérisation " des discours et des pratiques au IIe siècle de notre ère dans l'empire romain – c'est-à-dire une multiplication, diversification et intensification des références aux (cultes à) " mystères " dans des contextes variés mais cohérents, et dans les différents groupes religieux présents dans l'empire (païens, juifs et chrétiens).
Ce " tournant " mystérique affecte non seulement des pratiques rituelles et les discours qui les entourent, mais, au-delà, de nombreux domaines du savoir qui, comme Platon en son temps, se mettent à mobiliser le vocabulaire et l'imagerie des mystères. L'enquête se déploie donc à la fois sur le terrain des rituels " mystériques " – dans des cultes qui se diffusent comme ceux d'Isis ou de Mater Magna, parallèlement à la continuation des mystères grecs (à Eleusis et Samothrace) –, et sur celui de la construction des savoirs de tous ordres qui s'élabore alors (médecine, philosophie, rhétorique, littérature), et où se banalise l'emploi d'un lexique mystérique.
Elle réunit donc des collègues spécialistes de champs disciplinaires variés – historiens, historiens des religions, archéologues, philologues, et bien sûr philosophes –, et de systèmes religieux différents – polythéisme, judaïsme et christianisme.
Ce " tournant " mystérique affecte non seulement des pratiques rituelles et les discours qui les entourent, mais, au-delà, de nombreux domaines du savoir qui, comme Platon en son temps, se mettent à mobiliser le vocabulaire et l'imagerie des mystères. L'enquête se déploie donc à la fois sur le terrain des rituels " mystériques " – dans des cultes qui se diffusent comme ceux d'Isis ou de Mater Magna, parallèlement à la continuation des mystères grecs (à Eleusis et Samothrace) –, et sur celui de la construction des savoirs de tous ordres qui s'élabore alors (médecine, philosophie, rhétorique, littérature), et où se banalise l'emploi d'un lexique mystérique.
Elle réunit donc des collègues spécialistes de champs disciplinaires variés – historiens, historiens des religions, archéologues, philologues, et bien sûr philosophes –, et de systèmes religieux différents – polythéisme, judaïsme et christianisme.