Les marges des Lumières françaises (1750-1789)
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- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.445 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 1,8 cm
- ISBN2-600-00961-2
- EAN9782600009614
- Date de parution01/10/2004
- CollectionBibliothèque des Lumières
- ÉditeurDroz
Résumé
On a longtemps pensé le XVIIIe siècle à travers l'affrontement exclusif de deux mouvements : les Philosophes exaltant la raison critique et leurs adversaires représentants des anti-Lumières. Cet ouvrage vise à étudier les marges de ce noyau dur, objet privilégié de la tradition historiographique. Le mot marges est pris dans toutes les acceptions du terme : limites, seuils, zones grises, incertaines et problématiques.
Il désigne les courants de pensée les plus divers qui se situent à la frontière des mouvements philosophiques, sans basculer pour autant dans l'antiphilosophie ou les anti-Lumières. Il montre d'abord comment les Lumières elles-mêmes pensent les limites extrêmes de la validité de leur démarche, puis examine des courants intellectuels, à l'origine divergents ou opposés, qui se rencontrent ou coexistent, dans un état de tension et d'instabilité.
Dans les trente années précédant la Révolution, on a souvent recours au vocabulaire philosophique, alors qu'on adopte des positions vaguement ou ouvertement antiphilosophiques. Fruit d'un colloque international tenu à l'Université de Tours en 2001, cet ouvrage nous rappelle que l'histoire culturelle de la deuxième moitié du XVIIIe siècle est faite de contradictions et de chevauchements, parfois paradoxaux.
Il désigne les courants de pensée les plus divers qui se situent à la frontière des mouvements philosophiques, sans basculer pour autant dans l'antiphilosophie ou les anti-Lumières. Il montre d'abord comment les Lumières elles-mêmes pensent les limites extrêmes de la validité de leur démarche, puis examine des courants intellectuels, à l'origine divergents ou opposés, qui se rencontrent ou coexistent, dans un état de tension et d'instabilité.
Dans les trente années précédant la Révolution, on a souvent recours au vocabulaire philosophique, alors qu'on adopte des positions vaguement ou ouvertement antiphilosophiques. Fruit d'un colloque international tenu à l'Université de Tours en 2001, cet ouvrage nous rappelle que l'histoire culturelle de la deuxième moitié du XVIIIe siècle est faite de contradictions et de chevauchements, parfois paradoxaux.
On a longtemps pensé le XVIIIe siècle à travers l'affrontement exclusif de deux mouvements : les Philosophes exaltant la raison critique et leurs adversaires représentants des anti-Lumières. Cet ouvrage vise à étudier les marges de ce noyau dur, objet privilégié de la tradition historiographique. Le mot marges est pris dans toutes les acceptions du terme : limites, seuils, zones grises, incertaines et problématiques.
Il désigne les courants de pensée les plus divers qui se situent à la frontière des mouvements philosophiques, sans basculer pour autant dans l'antiphilosophie ou les anti-Lumières. Il montre d'abord comment les Lumières elles-mêmes pensent les limites extrêmes de la validité de leur démarche, puis examine des courants intellectuels, à l'origine divergents ou opposés, qui se rencontrent ou coexistent, dans un état de tension et d'instabilité.
Dans les trente années précédant la Révolution, on a souvent recours au vocabulaire philosophique, alors qu'on adopte des positions vaguement ou ouvertement antiphilosophiques. Fruit d'un colloque international tenu à l'Université de Tours en 2001, cet ouvrage nous rappelle que l'histoire culturelle de la deuxième moitié du XVIIIe siècle est faite de contradictions et de chevauchements, parfois paradoxaux.
Il désigne les courants de pensée les plus divers qui se situent à la frontière des mouvements philosophiques, sans basculer pour autant dans l'antiphilosophie ou les anti-Lumières. Il montre d'abord comment les Lumières elles-mêmes pensent les limites extrêmes de la validité de leur démarche, puis examine des courants intellectuels, à l'origine divergents ou opposés, qui se rencontrent ou coexistent, dans un état de tension et d'instabilité.
Dans les trente années précédant la Révolution, on a souvent recours au vocabulaire philosophique, alors qu'on adopte des positions vaguement ou ouvertement antiphilosophiques. Fruit d'un colloque international tenu à l'Université de Tours en 2001, cet ouvrage nous rappelle que l'histoire culturelle de la deuxième moitié du XVIIIe siècle est faite de contradictions et de chevauchements, parfois paradoxaux.