Les Manchois et le régime de Vichy (1940-1945)

Par : Michel Boivin

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 31 juillet et le 6 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-35458-042-1
  • EAN9782354580421
  • Date de parution01/07/2013
  • CollectionInédits et introuvables du pat
  • ÉditeurEurocibles

Résumé

Contrairement à une idée largement répandue, le département de la Manche, alors majoritairement rural et agricole, fortement attaché aux pratiques catholiques, massivement orienté à droite, n'est pas unanimement maréchaliste, pétainiste et vichyste, loin s'en faut. Dans ce Vichy vu d'en bas, à partir de l'opinion des Manchois, Michel Boivin montre que l'affrontement entre pétainistes et gaullistes commence dès le premier appel du général de Gaulle, et que la résistance précoce à l'Etat français empêche ce dernier d'atteindre ses divers objectifs.
L'encadrement de la jeunesse, l'organisation de la Légion française des combattants, le regroupement communal, la Charte du Travail et la Corporation paysanne sont des échecs. Le maréchalisme lui-même ne fait pas recette. Les "Amis du Maréchal" sont rares. La majorité des conseils municipaux n'achètent pas le portrait du Maréchal, malgré les relances préfectorales. Quant à son nom, il n'est donné qu'à une rue et deux places au total !
Contrairement à une idée largement répandue, le département de la Manche, alors majoritairement rural et agricole, fortement attaché aux pratiques catholiques, massivement orienté à droite, n'est pas unanimement maréchaliste, pétainiste et vichyste, loin s'en faut. Dans ce Vichy vu d'en bas, à partir de l'opinion des Manchois, Michel Boivin montre que l'affrontement entre pétainistes et gaullistes commence dès le premier appel du général de Gaulle, et que la résistance précoce à l'Etat français empêche ce dernier d'atteindre ses divers objectifs.
L'encadrement de la jeunesse, l'organisation de la Légion française des combattants, le regroupement communal, la Charte du Travail et la Corporation paysanne sont des échecs. Le maréchalisme lui-même ne fait pas recette. Les "Amis du Maréchal" sont rares. La majorité des conseils municipaux n'achètent pas le portrait du Maréchal, malgré les relances préfectorales. Quant à son nom, il n'est donné qu'à une rue et deux places au total !