Les juifs ont-ils du coeur ?. Une intime extériorité
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 25 juillet et le 29 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 25 juillet et le 29 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages328
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,2 cm
- ISBN979-10-309-0066-8
- EAN9791030900668
- Date de parution08/02/2016
- CollectionDébats / Philosophie
- ÉditeurOrizons
Résumé
L'invitation à suivre son coeur s'était déployée, à l'époque de la philosophie des Lumières, autour du projet d'une religion universelle et sans texte, aussi appelée "religion du coeur", dont le judaïsme était décrit comme l'anti-modèle. Etrangement, Heidegger affirme, comme les Lumières, que ce qui est stable et ferme en l'homme est le coeur. Comment entendre ces résonances ? C'est un long parcours à travers le texte biblique qui pourrait nous éclairer. La Bible enseigne que le coeur n'est pas bon, qu'il est malade et plein de détours. Et qu'il doit être circoncis. Quelle est la signification de cette étrange opération à laquelle Meschonnic avait donné le nom d'une "intime extériorité" ?
L'invitation à suivre son coeur s'était déployée, à l'époque de la philosophie des Lumières, autour du projet d'une religion universelle et sans texte, aussi appelée "religion du coeur", dont le judaïsme était décrit comme l'anti-modèle. Etrangement, Heidegger affirme, comme les Lumières, que ce qui est stable et ferme en l'homme est le coeur. Comment entendre ces résonances ? C'est un long parcours à travers le texte biblique qui pourrait nous éclairer. La Bible enseigne que le coeur n'est pas bon, qu'il est malade et plein de détours. Et qu'il doit être circoncis. Quelle est la signification de cette étrange opération à laquelle Meschonnic avait donné le nom d'une "intime extériorité" ?