Les galets de la mer. Louise Ackermann femme révoltée
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- Nombre de pages98
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-9552190-2-7
- EAN9782955219027
- Date de parution04/07/2016
- ÉditeurEtincelle (Editions)
- PréfacierAurélie Foglia
- Commentateur (texte)Elena Thuault
Résumé
Dans l'intimité délicate et sans concession d'une des plus grandes poétesses du 19ème Toute jeune veuve, Louise s'est retirée à Nice après la décès de son mari pour retrouver la paix, et goûte désormais aux plaisirs des travaux agricoles, loin de l'agitation des villes. Entre rêveries, souvenirs, doutes, révolte, elle se confie sur son enfance, son existence, dévoilant une personnalité touchante. Louise Ackermann écrivit quelques-uns des plus beaux vers du 19ème siècle, attirant l'attention de Victor Hugo, l'admiration de Tolstoï.
Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s'attirer les foudres des moralistes. Un "monstre" dira d'elle Barbey d'Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec cette dédicace : "à la grande diabolique, les petites". Ce seule en scène se veut un hommage à l'une des plus grandes poétesses françaises, femme libre et indépendante dont la puissance des écrits résonne aujourd'hui avec une étonnante modernité.
Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s'attirer les foudres des moralistes. Un "monstre" dira d'elle Barbey d'Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec cette dédicace : "à la grande diabolique, les petites". Ce seule en scène se veut un hommage à l'une des plus grandes poétesses françaises, femme libre et indépendante dont la puissance des écrits résonne aujourd'hui avec une étonnante modernité.
Dans l'intimité délicate et sans concession d'une des plus grandes poétesses du 19ème Toute jeune veuve, Louise s'est retirée à Nice après la décès de son mari pour retrouver la paix, et goûte désormais aux plaisirs des travaux agricoles, loin de l'agitation des villes. Entre rêveries, souvenirs, doutes, révolte, elle se confie sur son enfance, son existence, dévoilant une personnalité touchante. Louise Ackermann écrivit quelques-uns des plus beaux vers du 19ème siècle, attirant l'attention de Victor Hugo, l'admiration de Tolstoï.
Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s'attirer les foudres des moralistes. Un "monstre" dira d'elle Barbey d'Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec cette dédicace : "à la grande diabolique, les petites". Ce seule en scène se veut un hommage à l'une des plus grandes poétesses françaises, femme libre et indépendante dont la puissance des écrits résonne aujourd'hui avec une étonnante modernité.
Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s'attirer les foudres des moralistes. Un "monstre" dira d'elle Barbey d'Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec cette dédicace : "à la grande diabolique, les petites". Ce seule en scène se veut un hommage à l'une des plus grandes poétesses françaises, femme libre et indépendante dont la puissance des écrits résonne aujourd'hui avec une étonnante modernité.