Les enjeux des systèmes d'information géographique. Les cas de la France et du Québec
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- Nombre de pages157
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.268 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-8648-7
- EAN9782738486486
- Date de parution01/02/2000
- CollectionGéographie sociale
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierNicholas Chrisman
Résumé
Les SIG, des systèmes d'information permettant d'assurer l'acquisition, la gestion, l'analyse, la mise à jour et la diffusion des données géoréférencées, sont devenus les bases incontournables de la gestion territoriale. Collectivités locales, administrations et entreprises privées s'en saisissent dans le but avoué de rationaliser le traitement de l'information géographique et d'optimiser leurs actions spatialisées.
Pourtant l'apparente limpidité autant que le succès affiché par les promoteurs masquent la complexité des mécanismes de diffusion de ces systèmes. Les SIG sont encore souvent considérés comme simples outils informatiques d'analyse et de cartographie, sans que les dimensions humaines et sociales soient réellement prises en compte. Cet ouvrage adopte un positionnement inverse en s'inscrivant dans ce que Nicholas Chrisman qualifie de géographie de l'information géographique.
A travers des études de cas menées en France et au Québec, l'auteur nous montre que les SIG sont de véritables constructions sociales dont le processus géographique et culturel. Il met également en évidence les profondes implications des SIG sur les pratiques des organisations : repositionnement des logiques d'acteurs, évolutions des savoirs et des savoir-faire. Ce livre s'adresse à ceux qui développent ou plus simplement utilisent les SIG quotidiennement : pour les aider à mieux tirer profit des expériences passées, des échecs et des succès des organismes qui ont déjà franchi le pas ; pour les aider à mieux se situer par rapport aux outils et à leur potentiel.
Il propose également aux géographes, à travers l'étude de la construction des SIG, une nouvelle clef de lecture des relations entre espaces et sociétés.
Pourtant l'apparente limpidité autant que le succès affiché par les promoteurs masquent la complexité des mécanismes de diffusion de ces systèmes. Les SIG sont encore souvent considérés comme simples outils informatiques d'analyse et de cartographie, sans que les dimensions humaines et sociales soient réellement prises en compte. Cet ouvrage adopte un positionnement inverse en s'inscrivant dans ce que Nicholas Chrisman qualifie de géographie de l'information géographique.
A travers des études de cas menées en France et au Québec, l'auteur nous montre que les SIG sont de véritables constructions sociales dont le processus géographique et culturel. Il met également en évidence les profondes implications des SIG sur les pratiques des organisations : repositionnement des logiques d'acteurs, évolutions des savoirs et des savoir-faire. Ce livre s'adresse à ceux qui développent ou plus simplement utilisent les SIG quotidiennement : pour les aider à mieux tirer profit des expériences passées, des échecs et des succès des organismes qui ont déjà franchi le pas ; pour les aider à mieux se situer par rapport aux outils et à leur potentiel.
Il propose également aux géographes, à travers l'étude de la construction des SIG, une nouvelle clef de lecture des relations entre espaces et sociétés.
Les SIG, des systèmes d'information permettant d'assurer l'acquisition, la gestion, l'analyse, la mise à jour et la diffusion des données géoréférencées, sont devenus les bases incontournables de la gestion territoriale. Collectivités locales, administrations et entreprises privées s'en saisissent dans le but avoué de rationaliser le traitement de l'information géographique et d'optimiser leurs actions spatialisées.
Pourtant l'apparente limpidité autant que le succès affiché par les promoteurs masquent la complexité des mécanismes de diffusion de ces systèmes. Les SIG sont encore souvent considérés comme simples outils informatiques d'analyse et de cartographie, sans que les dimensions humaines et sociales soient réellement prises en compte. Cet ouvrage adopte un positionnement inverse en s'inscrivant dans ce que Nicholas Chrisman qualifie de géographie de l'information géographique.
A travers des études de cas menées en France et au Québec, l'auteur nous montre que les SIG sont de véritables constructions sociales dont le processus géographique et culturel. Il met également en évidence les profondes implications des SIG sur les pratiques des organisations : repositionnement des logiques d'acteurs, évolutions des savoirs et des savoir-faire. Ce livre s'adresse à ceux qui développent ou plus simplement utilisent les SIG quotidiennement : pour les aider à mieux tirer profit des expériences passées, des échecs et des succès des organismes qui ont déjà franchi le pas ; pour les aider à mieux se situer par rapport aux outils et à leur potentiel.
Il propose également aux géographes, à travers l'étude de la construction des SIG, une nouvelle clef de lecture des relations entre espaces et sociétés.
Pourtant l'apparente limpidité autant que le succès affiché par les promoteurs masquent la complexité des mécanismes de diffusion de ces systèmes. Les SIG sont encore souvent considérés comme simples outils informatiques d'analyse et de cartographie, sans que les dimensions humaines et sociales soient réellement prises en compte. Cet ouvrage adopte un positionnement inverse en s'inscrivant dans ce que Nicholas Chrisman qualifie de géographie de l'information géographique.
A travers des études de cas menées en France et au Québec, l'auteur nous montre que les SIG sont de véritables constructions sociales dont le processus géographique et culturel. Il met également en évidence les profondes implications des SIG sur les pratiques des organisations : repositionnement des logiques d'acteurs, évolutions des savoirs et des savoir-faire. Ce livre s'adresse à ceux qui développent ou plus simplement utilisent les SIG quotidiennement : pour les aider à mieux tirer profit des expériences passées, des échecs et des succès des organismes qui ont déjà franchi le pas ; pour les aider à mieux se situer par rapport aux outils et à leur potentiel.
Il propose également aux géographes, à travers l'étude de la construction des SIG, une nouvelle clef de lecture des relations entre espaces et sociétés.
