Archiviste paléographe. Conservateur en chef au Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale (en 1993). Directeur de l'Institut d'histoire de l'art, Lyon 2 (en 2002).
Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance du deuxième directorat d'Ernest Hébert (1885-1890)
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- Nombre de pages260
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.412 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-343-14716-1
- EAN9782343147161
- Date de parution27/12/2018
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Hébert fut directeur de l'Académie de France à Rome de 1867 à 1872, sous le Second Empire, et effectua un second directorat de 1885 à 1890. Sa réputation de portraitiste mondain et les accommodements de la IIIe République lui permirent de poser sa candidature pour succéder plus brillamment à ses deux prédécesseurs. Il fit bâtir un pavillon dans les jardins qui porte encore son nom, reçut toute la gentry romaine et refusa même de partir lorsque son successeur fut nommé.
C'est un directorat d'illusion et de fêtes qui cachait le profond délabrement des finances de l'établissement, bien que l'illusion demeurât.
C'est un directorat d'illusion et de fêtes qui cachait le profond délabrement des finances de l'établissement, bien que l'illusion demeurât.
Hébert fut directeur de l'Académie de France à Rome de 1867 à 1872, sous le Second Empire, et effectua un second directorat de 1885 à 1890. Sa réputation de portraitiste mondain et les accommodements de la IIIe République lui permirent de poser sa candidature pour succéder plus brillamment à ses deux prédécesseurs. Il fit bâtir un pavillon dans les jardins qui porte encore son nom, reçut toute la gentry romaine et refusa même de partir lorsque son successeur fut nommé.
C'est un directorat d'illusion et de fêtes qui cachait le profond délabrement des finances de l'établissement, bien que l'illusion demeurât.
C'est un directorat d'illusion et de fêtes qui cachait le profond délabrement des finances de l'établissement, bien que l'illusion demeurât.
A propos de François Fossier
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