Archiviste paléographe. Conservateur en chef au Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale (en 1993). Directeur de l'Institut d'histoire de l'art, Lyon 2 (en 2002).
Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Jean Alaux (1847 - 1852)
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- Nombre de pages427
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.66 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,7 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-343-14711-6
- EAN9782343147116
- Date de parution08/10/2018
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Jean Alaux (1786-1864) avait été premier prix de Rome en 1815, ce qui lui valut le surnom de "Romain". Il s'était fait connaître comme peintre d'histoire, notamment pour la galerie des Batailles à Versailles. En revanche et contrairement à ses prédécesseurs, il n'était pas encore membre de l'Académie des beaux-arts lorsqu'il fut nommé à Rome en 1847 pour succéder à Jean-Victor Schnetz. Son action sur place fut davantage de l'ordre du courage puisque, durant son mandat, il connut la chute du régime monarchique, la révolution de 1848 et la naissance de la IIe République, une épidémie de choléra et l'occupation de Rome par les troupes garibaldiennes qui le contraignit à se replier à Florence.
Il réussit à faire face à cette série de cataclysmes et à sauver un établissement dont personne ne se préoccupait, ni à Paris ni à Rome.
Il réussit à faire face à cette série de cataclysmes et à sauver un établissement dont personne ne se préoccupait, ni à Paris ni à Rome.
Jean Alaux (1786-1864) avait été premier prix de Rome en 1815, ce qui lui valut le surnom de "Romain". Il s'était fait connaître comme peintre d'histoire, notamment pour la galerie des Batailles à Versailles. En revanche et contrairement à ses prédécesseurs, il n'était pas encore membre de l'Académie des beaux-arts lorsqu'il fut nommé à Rome en 1847 pour succéder à Jean-Victor Schnetz. Son action sur place fut davantage de l'ordre du courage puisque, durant son mandat, il connut la chute du régime monarchique, la révolution de 1848 et la naissance de la IIe République, une épidémie de choléra et l'occupation de Rome par les troupes garibaldiennes qui le contraignit à se replier à Florence.
Il réussit à faire face à cette série de cataclysmes et à sauver un établissement dont personne ne se préoccupait, ni à Paris ni à Rome.
Il réussit à faire face à cette série de cataclysmes et à sauver un établissement dont personne ne se préoccupait, ni à Paris ni à Rome.