Archiviste paléographe. Conservateur en chef au Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale (en 1993). Directeur de l'Institut d'histoire de l'art, Lyon 2 (en 2002).
Les directeurs de la Villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Guillaume Guillon-Lethière (1807-1816)
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- Nombre de pages466
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.692 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-343-14709-3
- EAN9782343147093
- Date de parution25/05/2018
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Guillaume Guillon-Lethière (1760-1832), peintre formé sous l'Ancien Régime, qui sut traverser la tourmente révolutionnaire et s'attirer la protection de la future impératrice Joséphine, fut nommé en 1807 à la tête de la villa Médicis, récemment achetée par Napoléon, pour succéder au dernier directeur de la période prérévolutionnaire, J.-B. Suvée. Il trouva la nouvelle Académie de France à Rome en piteux état, dans un pays hostile à la France et dont plusieurs pensionnaires avaient déjà été recrutés pour les commandes impériales.
Il sut néanmoins faire face à toutes ces difficultés et remit à son successeur, Charles Thévenin, un établissement en bon ordre. Sa correspondance jette un jour nouveau sur la présence artistique française à l'étranger sous l'Empire.
Il sut néanmoins faire face à toutes ces difficultés et remit à son successeur, Charles Thévenin, un établissement en bon ordre. Sa correspondance jette un jour nouveau sur la présence artistique française à l'étranger sous l'Empire.
Guillaume Guillon-Lethière (1760-1832), peintre formé sous l'Ancien Régime, qui sut traverser la tourmente révolutionnaire et s'attirer la protection de la future impératrice Joséphine, fut nommé en 1807 à la tête de la villa Médicis, récemment achetée par Napoléon, pour succéder au dernier directeur de la période prérévolutionnaire, J.-B. Suvée. Il trouva la nouvelle Académie de France à Rome en piteux état, dans un pays hostile à la France et dont plusieurs pensionnaires avaient déjà été recrutés pour les commandes impériales.
Il sut néanmoins faire face à toutes ces difficultés et remit à son successeur, Charles Thévenin, un établissement en bon ordre. Sa correspondance jette un jour nouveau sur la présence artistique française à l'étranger sous l'Empire.
Il sut néanmoins faire face à toutes ces difficultés et remit à son successeur, Charles Thévenin, un établissement en bon ordre. Sa correspondance jette un jour nouveau sur la présence artistique française à l'étranger sous l'Empire.