Les crues sur la Loire et ses affluents. 1856 et 2016

Par : Alain Giret
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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-14455-9
  • EAN9782343144559
  • Date de parution14/03/2018
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Comme en 1856, l'année hydrologique 2015-2016 s'acheva par une très originale crue de juin dans le bassin de la Loire. Mais aujourd'hui, on dispose de données qui étaient inconnues il y a 160 ans. Cet ouvrage vise à reconstituer les processus ayant conduit à la situation de juin 2016, en faisant le parallèle avec le drame de 1856. La pluviométrie et ses débits afférents ont été analysés sur la Loire, ses affluents et ses sous-affluents.
Très arrosé, l'hiver connut déjà des hautes eaux. La pluie ruisselait sur des sols saturés depuis janvier, et la Loire comme ses affluents ont souvent quitté leur lit. La situation empira en mai, avec une recrudescence des précipitations sur le Massif central et le Berry. L'onde de crue qui déboucha au Bec d'Allier fut entretenue jusqu'à Tours où elle fut rejointe par les très fortes eaux du Cher et de la Vienne.
En Berry et en Sologne, le Cher et ses affluents ont envahi les bas quartiers des villes riveraines. Du fait d'une pluviométrie restée modeste sur la Maine, on en resta là. La situation n'évolua pas comme en 1856, le drame resta localisé, mais l'abondance des données a permis de montrer que les bassins versants restent très sensibles, que le ruissellement peut toujours survenir au-dessus d'un seuil pluviométrique de forte probabilité.
Le risque hydrologique est une constante pour les villes ligériennes.
Comme en 1856, l'année hydrologique 2015-2016 s'acheva par une très originale crue de juin dans le bassin de la Loire. Mais aujourd'hui, on dispose de données qui étaient inconnues il y a 160 ans. Cet ouvrage vise à reconstituer les processus ayant conduit à la situation de juin 2016, en faisant le parallèle avec le drame de 1856. La pluviométrie et ses débits afférents ont été analysés sur la Loire, ses affluents et ses sous-affluents.
Très arrosé, l'hiver connut déjà des hautes eaux. La pluie ruisselait sur des sols saturés depuis janvier, et la Loire comme ses affluents ont souvent quitté leur lit. La situation empira en mai, avec une recrudescence des précipitations sur le Massif central et le Berry. L'onde de crue qui déboucha au Bec d'Allier fut entretenue jusqu'à Tours où elle fut rejointe par les très fortes eaux du Cher et de la Vienne.
En Berry et en Sologne, le Cher et ses affluents ont envahi les bas quartiers des villes riveraines. Du fait d'une pluviométrie restée modeste sur la Maine, on en resta là. La situation n'évolua pas comme en 1856, le drame resta localisé, mais l'abondance des données a permis de montrer que les bassins versants restent très sensibles, que le ruissellement peut toujours survenir au-dessus d'un seuil pluviométrique de forte probabilité.
Le risque hydrologique est une constante pour les villes ligériennes.