Les compagnons de la libération de la 13
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- Nombre de pages303
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.395 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,6 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-37254-152-7
- EAN9782372541527
- Date de parution18/06/2020
- ÉditeurMareuil éditions
Résumé
Parmi les hommes qui ont choisi de combattre aux côtés de De Gaulle dans les Forces françaises libres, 900 sont issus de la 13e DBLE, ce qui fait dès lors de ce régiment un pilier de la Libération. Ce sont eux et l'histoire de leur ralliement, que se propose de raconter Henri Weill. Ils sont 97 militaires de tous grades de ce régiment à avoir reçu la croix de la Libération (sur 1038 titulaires). Si le chiffre est aussi important, c'est que la 13e DBLE a joué un rôle considérable dans la constitution des Forces françaises libres.
Dès juillet 1940, ce sont 900 militaires sur 1619 qui choisissent, au retour de Norvège, de rejoindre l'Angleterre et le général de Gaulle plutôt que l'Afrique du Nord et le maréchal Pétain. D'autres, comme Pierre Mouchel-Blaisot, les lieutenants Simon et Messmer, Pierre de Maismont, Jean-Pierre Mallet, Jacques Rouleau, les cousins Magrin, n'ont pas combattu en Norvège mais ont pourtant rejoint les FFL ainsi que la "13", dans des conditions souvent périlleuses.
Légionnaires de la "13" en juin 40, civils qui gagnent l'Angleterre, officiers ayant servi dans un régiment fidèle à Vichy mais qui choisiront ultérieurement la France libre, militaires servant dans une autre unité de la Résistance mais qui rejoignent quand même la "13", les profils sont multiples, riches, singuliers. Ce livre est l'histoire de ces ralliements, de ces hommes courageux porteurs de la volonté farouche de combattre le nazisme.
Il donne un éclairage inédit sur un régiment méconnu de l'histoire de France qui fut notamment à l'origine des Forces françaises libres.
Dès juillet 1940, ce sont 900 militaires sur 1619 qui choisissent, au retour de Norvège, de rejoindre l'Angleterre et le général de Gaulle plutôt que l'Afrique du Nord et le maréchal Pétain. D'autres, comme Pierre Mouchel-Blaisot, les lieutenants Simon et Messmer, Pierre de Maismont, Jean-Pierre Mallet, Jacques Rouleau, les cousins Magrin, n'ont pas combattu en Norvège mais ont pourtant rejoint les FFL ainsi que la "13", dans des conditions souvent périlleuses.
Légionnaires de la "13" en juin 40, civils qui gagnent l'Angleterre, officiers ayant servi dans un régiment fidèle à Vichy mais qui choisiront ultérieurement la France libre, militaires servant dans une autre unité de la Résistance mais qui rejoignent quand même la "13", les profils sont multiples, riches, singuliers. Ce livre est l'histoire de ces ralliements, de ces hommes courageux porteurs de la volonté farouche de combattre le nazisme.
Il donne un éclairage inédit sur un régiment méconnu de l'histoire de France qui fut notamment à l'origine des Forces françaises libres.
Parmi les hommes qui ont choisi de combattre aux côtés de De Gaulle dans les Forces françaises libres, 900 sont issus de la 13e DBLE, ce qui fait dès lors de ce régiment un pilier de la Libération. Ce sont eux et l'histoire de leur ralliement, que se propose de raconter Henri Weill. Ils sont 97 militaires de tous grades de ce régiment à avoir reçu la croix de la Libération (sur 1038 titulaires). Si le chiffre est aussi important, c'est que la 13e DBLE a joué un rôle considérable dans la constitution des Forces françaises libres.
Dès juillet 1940, ce sont 900 militaires sur 1619 qui choisissent, au retour de Norvège, de rejoindre l'Angleterre et le général de Gaulle plutôt que l'Afrique du Nord et le maréchal Pétain. D'autres, comme Pierre Mouchel-Blaisot, les lieutenants Simon et Messmer, Pierre de Maismont, Jean-Pierre Mallet, Jacques Rouleau, les cousins Magrin, n'ont pas combattu en Norvège mais ont pourtant rejoint les FFL ainsi que la "13", dans des conditions souvent périlleuses.
Légionnaires de la "13" en juin 40, civils qui gagnent l'Angleterre, officiers ayant servi dans un régiment fidèle à Vichy mais qui choisiront ultérieurement la France libre, militaires servant dans une autre unité de la Résistance mais qui rejoignent quand même la "13", les profils sont multiples, riches, singuliers. Ce livre est l'histoire de ces ralliements, de ces hommes courageux porteurs de la volonté farouche de combattre le nazisme.
Il donne un éclairage inédit sur un régiment méconnu de l'histoire de France qui fut notamment à l'origine des Forces françaises libres.
Dès juillet 1940, ce sont 900 militaires sur 1619 qui choisissent, au retour de Norvège, de rejoindre l'Angleterre et le général de Gaulle plutôt que l'Afrique du Nord et le maréchal Pétain. D'autres, comme Pierre Mouchel-Blaisot, les lieutenants Simon et Messmer, Pierre de Maismont, Jean-Pierre Mallet, Jacques Rouleau, les cousins Magrin, n'ont pas combattu en Norvège mais ont pourtant rejoint les FFL ainsi que la "13", dans des conditions souvent périlleuses.
Légionnaires de la "13" en juin 40, civils qui gagnent l'Angleterre, officiers ayant servi dans un régiment fidèle à Vichy mais qui choisiront ultérieurement la France libre, militaires servant dans une autre unité de la Résistance mais qui rejoignent quand même la "13", les profils sont multiples, riches, singuliers. Ce livre est l'histoire de ces ralliements, de ces hommes courageux porteurs de la volonté farouche de combattre le nazisme.
Il donne un éclairage inédit sur un régiment méconnu de l'histoire de France qui fut notamment à l'origine des Forces françaises libres.