Les "anonymes" de la Résistance en France (1940-1942). Motivations et engagements de la première heure
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- Nombre de pages466
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.724 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-37999-003-8
- EAN9782379990038
- Date de parution22/10/2019
- CollectionKronos
- ÉditeurSPM-Lettrage
- PréfacierSerge Barcellini
Résumé
Les "anonymes" de la Résistance en France Les "anonymes" de la Résistance, sont les oubliés de l'ombre, c'est-à-dire ces héros de la première heure qui ont osé agir en rejetant la collaboration avec l'Allemagne. Ce sont surtout les petits, les sans-grades, grâce à qui le travail de la Résistance a pu être accompli, comme des hôteliers, des passeurs, des assistantes sociales et des médecins, des prêtres, des policiers et des gendarmes, des lycéens, des intellectuels et artistes, des fonctionnaires, des enseignants, des pasteurs, etc.
Contrairement à une image de la France décrite comme une nation "atone, recroquevillée sur elle-même, uniquement soucieuse de satisfaire à ses besoins vitaux, voire indifférente", cet ouvrage permet de découvrir que ces résistants de la première heure furent nombreux et posèrent les jalons des premiers réseaux et mouvements de Résistance. Les chaînes de solidarités que cette activité illégale a fait naître à travers la France, avant même l'organisation des réseaux et des mouvements, doit être prise en compte, car la Résistance ne peut être identifiée au seul geste de chevalerie d'exception.
C'est pourquoi l'auteur distingue entre trois notions : Désobéissance civile, Résistance et Résistance spirituelle, ce qui lui permet de prendre en compte toute l'étendue de cette première Résistance de 1940 à 1942. En mettant l'accent sur l'histoire locale, sur les liens entre les individus avant la guerre, l'auteur brosse un tableau radicalement autre de la France sous l'Occupation, révélant les nombreuses initiatives pour libérer le pays.
Ce travail, résultat d'une enquête de plusieurs années, apporte une pierre nouvelle à l'historiographie de Vichy et à l'histoire de la Résistance en France. Il fera date.
Contrairement à une image de la France décrite comme une nation "atone, recroquevillée sur elle-même, uniquement soucieuse de satisfaire à ses besoins vitaux, voire indifférente", cet ouvrage permet de découvrir que ces résistants de la première heure furent nombreux et posèrent les jalons des premiers réseaux et mouvements de Résistance. Les chaînes de solidarités que cette activité illégale a fait naître à travers la France, avant même l'organisation des réseaux et des mouvements, doit être prise en compte, car la Résistance ne peut être identifiée au seul geste de chevalerie d'exception.
C'est pourquoi l'auteur distingue entre trois notions : Désobéissance civile, Résistance et Résistance spirituelle, ce qui lui permet de prendre en compte toute l'étendue de cette première Résistance de 1940 à 1942. En mettant l'accent sur l'histoire locale, sur les liens entre les individus avant la guerre, l'auteur brosse un tableau radicalement autre de la France sous l'Occupation, révélant les nombreuses initiatives pour libérer le pays.
Ce travail, résultat d'une enquête de plusieurs années, apporte une pierre nouvelle à l'historiographie de Vichy et à l'histoire de la Résistance en France. Il fera date.
Les "anonymes" de la Résistance en France Les "anonymes" de la Résistance, sont les oubliés de l'ombre, c'est-à-dire ces héros de la première heure qui ont osé agir en rejetant la collaboration avec l'Allemagne. Ce sont surtout les petits, les sans-grades, grâce à qui le travail de la Résistance a pu être accompli, comme des hôteliers, des passeurs, des assistantes sociales et des médecins, des prêtres, des policiers et des gendarmes, des lycéens, des intellectuels et artistes, des fonctionnaires, des enseignants, des pasteurs, etc.
Contrairement à une image de la France décrite comme une nation "atone, recroquevillée sur elle-même, uniquement soucieuse de satisfaire à ses besoins vitaux, voire indifférente", cet ouvrage permet de découvrir que ces résistants de la première heure furent nombreux et posèrent les jalons des premiers réseaux et mouvements de Résistance. Les chaînes de solidarités que cette activité illégale a fait naître à travers la France, avant même l'organisation des réseaux et des mouvements, doit être prise en compte, car la Résistance ne peut être identifiée au seul geste de chevalerie d'exception.
C'est pourquoi l'auteur distingue entre trois notions : Désobéissance civile, Résistance et Résistance spirituelle, ce qui lui permet de prendre en compte toute l'étendue de cette première Résistance de 1940 à 1942. En mettant l'accent sur l'histoire locale, sur les liens entre les individus avant la guerre, l'auteur brosse un tableau radicalement autre de la France sous l'Occupation, révélant les nombreuses initiatives pour libérer le pays.
Ce travail, résultat d'une enquête de plusieurs années, apporte une pierre nouvelle à l'historiographie de Vichy et à l'histoire de la Résistance en France. Il fera date.
Contrairement à une image de la France décrite comme une nation "atone, recroquevillée sur elle-même, uniquement soucieuse de satisfaire à ses besoins vitaux, voire indifférente", cet ouvrage permet de découvrir que ces résistants de la première heure furent nombreux et posèrent les jalons des premiers réseaux et mouvements de Résistance. Les chaînes de solidarités que cette activité illégale a fait naître à travers la France, avant même l'organisation des réseaux et des mouvements, doit être prise en compte, car la Résistance ne peut être identifiée au seul geste de chevalerie d'exception.
C'est pourquoi l'auteur distingue entre trois notions : Désobéissance civile, Résistance et Résistance spirituelle, ce qui lui permet de prendre en compte toute l'étendue de cette première Résistance de 1940 à 1942. En mettant l'accent sur l'histoire locale, sur les liens entre les individus avant la guerre, l'auteur brosse un tableau radicalement autre de la France sous l'Occupation, révélant les nombreuses initiatives pour libérer le pays.
Ce travail, résultat d'une enquête de plusieurs années, apporte une pierre nouvelle à l'historiographie de Vichy et à l'histoire de la Résistance en France. Il fera date.