Encore un RJ Ellory à mon actif, et toujours autant de plaisir à lire cet auteur. Ce maître du polar nous plonge une nouvelle fois dans un univers sombre, sans concession car la vie n'est pas rose, et n'a rien d'un long fleuve tranquille. Dès la première page on assiste à un meurtre suivi d'un suicide, ceci est le quotidien de Franck Parish, un homme désœuvré, marqué par la vie, par son métier, par sa famille partie en flambeau. Il noie son malheur dans l'excès d'alcool et de travail, l'entraînant irrémédiablement encore plus au fond du gouffre. Ce qui le sauvera sera l'enquête de jeunes filles mortes, découvrir le coupable redonnerait à Franck sa confiance et son amour-propre. Les séances avec la psychologue permettra à Franck Parish d'extérioriser ce qu'il a au fond de lui, évacuer le poids de son père mort, un héros pour tout le monde mais qui se révèle être un ripoux de la pire espèce.
Comme toujours, RJ Ellory construit une histoire prenante, profonde, réfléchit et tellement réaliste sans jamais tomber dans l'excès d'informations, de précisions risquant de perdre son lecteur. Il nous livre une fois de plus un héros attachant, terriblement humain par sa souffrance, son ambiguïté, son humour, cet homme marche sans cesse sur le fil du rasoir, la vie et la mort sont deux compagnes inséparables pour lui.
Franck Parish est le moteur du livre, il est son âme, tous gravitent autour de lui sans qu'il s'en rende compte ni qu'il comprenne pourquoi. Cet homme ne fait rien dans la démesure, excès d'alcool, peu entrain à l'amitié, son métier est tout pour lui, détruisant son couple et sa famille. Frank Parish cachent de nombreuses blessures au fond de son cœur, la plus grande étant son père. Les séances de psy lui ouvriront les yeux sur le pourquoi de son comportement actuel. Au début de Les anges de New York on y découvre un flic, les pages suivantes nous révèlent un homme écorché tandis que la fin du livre nous offre un.....
Encore un RJ Ellory à mon actif, et toujours autant de plaisir à lire cet auteur. Ce maître du polar nous plonge une nouvelle fois dans un univers sombre, sans concession car la vie n'est pas rose, et n'a rien d'un long fleuve tranquille. Dès la première page on assiste à un meurtre suivi d'un suicide, ceci est le quotidien de Franck Parish, un homme désœuvré, marqué par la vie, par son métier, par sa famille partie en flambeau. Il noie son malheur dans l'excès d'alcool et de travail, l'entraînant irrémédiablement encore plus au fond du gouffre. Ce qui le sauvera sera l'enquête de jeunes filles mortes, découvrir le coupable redonnerait à Franck sa confiance et son amour-propre. Les séances avec la psychologue permettra à Franck Parish d'extérioriser ce qu'il a au fond de lui, évacuer le poids de son père mort, un héros pour tout le monde mais qui se révèle être un ripoux de la pire espèce.
Comme toujours, RJ Ellory construit une histoire prenante, profonde, réfléchit et tellement réaliste sans jamais tomber dans l'excès d'informations, de précisions risquant de perdre son lecteur. Il nous livre une fois de plus un héros attachant, terriblement humain par sa souffrance, son ambiguïté, son humour, cet homme marche sans cesse sur le fil du rasoir, la vie et la mort sont deux compagnes inséparables pour lui.
Franck Parish est le moteur du livre, il est son âme, tous gravitent autour de lui sans qu'il s'en rende compte ni qu'il comprenne pourquoi. Cet homme ne fait rien dans la démesure, excès d'alcool, peu entrain à l'amitié, son métier est tout pour lui, détruisant son couple et sa famille. Frank Parish cachent de nombreuses blessures au fond de son cœur, la plus grande étant son père. Les séances de psy lui ouvriront les yeux sur le pourquoi de son comportement actuel. Au début de Les anges de New York on y découvre un flic, les pages suivantes nous révèlent un homme écorché tandis que la fin du livre nous offre un.....