Légendes et chansons de gestes canaques (1875). Suivi de Légendes et chants de gestes canaques (1885) et de Civilisation

Par : Louise Michel
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages227
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.415 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7297-0746-8
  • EAN9782729707460
  • Date de parution01/05/2006
  • ÉditeurPUL

Résumé

21-28 mai 1871 : " semaine sanglante " pour la Commune. 35 000 hommes, femmes, enfants fusillés (90 000 selon d'autres estimations), 38 000 prisonniers, dont plus de 4 000 déportés en Guyane et en Nouvelle-Calédonie, le plus loin possible de la métropole. Condamnée à la déportation en décembre 1871, Louise Michel est embarquée pour la Nouvelle-Calédonie le 24 août 1873. " On ne fait pas six mille lieues pour ne rien voir et n'être utile à rien " écrit-elle à Hugo. Plantes, insectes, houles, cyclones, tout l'intéresse. La rencontre avec Daoumi, les chansons et danses kanak, auxquelles elle assiste la nuit, " bercée par la voix des brisants ", lui ouvrent un univers, une " grande poésie " qu'elle veut vivre et transmettre. A Nouméa, dans le premier journal civil de la colonie, Petites Affiches de la Nouvelle-Calédonie, elle publie en 1875 Légendes et chansons de gestes canaques : travail de métamorphose. Après l'amnistie du 14 juillet 1881, Louise Michel peut rentrer en France. Elle publie en 1885, à Paris, des légendes très remaniées : Légendes et chants de gestes canaques. La Calédonie marquera fortement les Mémoires (1886) ou le roman (La Misère, 1882). Une pièce de théâtre située chez les Kanak, Civilisation, montre (c'est-à-dire dénonce) " comment on civilise ".
21-28 mai 1871 : " semaine sanglante " pour la Commune. 35 000 hommes, femmes, enfants fusillés (90 000 selon d'autres estimations), 38 000 prisonniers, dont plus de 4 000 déportés en Guyane et en Nouvelle-Calédonie, le plus loin possible de la métropole. Condamnée à la déportation en décembre 1871, Louise Michel est embarquée pour la Nouvelle-Calédonie le 24 août 1873. " On ne fait pas six mille lieues pour ne rien voir et n'être utile à rien " écrit-elle à Hugo. Plantes, insectes, houles, cyclones, tout l'intéresse. La rencontre avec Daoumi, les chansons et danses kanak, auxquelles elle assiste la nuit, " bercée par la voix des brisants ", lui ouvrent un univers, une " grande poésie " qu'elle veut vivre et transmettre. A Nouméa, dans le premier journal civil de la colonie, Petites Affiches de la Nouvelle-Calédonie, elle publie en 1875 Légendes et chansons de gestes canaques : travail de métamorphose. Après l'amnistie du 14 juillet 1881, Louise Michel peut rentrer en France. Elle publie en 1885, à Paris, des légendes très remaniées : Légendes et chants de gestes canaques. La Calédonie marquera fortement les Mémoires (1886) ou le roman (La Misère, 1882). Une pièce de théâtre située chez les Kanak, Civilisation, montre (c'est-à-dire dénonce) " comment on civilise ".
Mémoires
Louise Michel
Poche
10,50 €
Mémoires
Louise Michel
E-book
9,99 €
Quatre pionnières
Simone de Beauvoir, Louise Michel, Sylvia Plath, Charlotte Perkins Gilman
Poche
22,00 €
La Commune
Louise Michel
Poche
15,50 €
Mémoires
Louise Michel
E-book
9,99 €
Contes et légendes
Louise Michel
E-book
3,49 €
La Misère
Louise Michel
Grand Format
32,00 €
La Commune
Louise Michel
Grand Format
18,50 €