Lectures de Assia Djebar. Analyse littéraire de trois romans : L'amour, la fantasia ; Ombre sultane ; La femme sans sépulture

Par : Bouali Kouadri-Mostefaoui

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  • Nombre de pages258
  • PrésentationBroché
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,6 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-296-54791-9
  • EAN9782296547919
  • Date de parution31/05/2011
  • CollectionApproches littéraires
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'Amour, la fantasia. Etrangeté de cette guerre... Les deux camps la désirent comme on désire l'inavouable... Et si la prise d'Alger n'était qu'un acte d'amour échangé entre deux peuples ? Les combattants des deux camps n'auraient-ils cherché l'affrontement que pour l'entrelacement final de leurs membres ? Ombre sultane. L'échec d'une femme émancipée qui rentre au pays de naissance : échec face aux traditions, échec à convaincre qu'il y a plus de dépravation à s'accoupler avec le soleil qu'à aimer son mari avec le corps et l'esprit, échec des femmes émancipées à réunir les efforts des femmes asservies pour leur libération...
Isma abdique. Elle se prend à envier la vie des épouses cloîtrées... La femme sans sépulture. Mais c'est dans la prison de l'ennemi qu'elles font toutes les deux la découverte de l'amour. Chérifa s'éprend du lieutenant Coste, Zoulikha, du commissaire Costa. Elles vivront cet amour pour un Français comme une libération. Elles découvrent sur le coup que l'objet de leur quête, ignoré jusque-là, c'était la rencontre physique d'un Français, image de l'amour et de son corollaire chez Assia Djebar : la liberté.
L'Amour, la fantasia. Etrangeté de cette guerre... Les deux camps la désirent comme on désire l'inavouable... Et si la prise d'Alger n'était qu'un acte d'amour échangé entre deux peuples ? Les combattants des deux camps n'auraient-ils cherché l'affrontement que pour l'entrelacement final de leurs membres ? Ombre sultane. L'échec d'une femme émancipée qui rentre au pays de naissance : échec face aux traditions, échec à convaincre qu'il y a plus de dépravation à s'accoupler avec le soleil qu'à aimer son mari avec le corps et l'esprit, échec des femmes émancipées à réunir les efforts des femmes asservies pour leur libération...
Isma abdique. Elle se prend à envier la vie des épouses cloîtrées... La femme sans sépulture. Mais c'est dans la prison de l'ennemi qu'elles font toutes les deux la découverte de l'amour. Chérifa s'éprend du lieutenant Coste, Zoulikha, du commissaire Costa. Elles vivront cet amour pour un Français comme une libération. Elles découvrent sur le coup que l'objet de leur quête, ignoré jusque-là, c'était la rencontre physique d'un Français, image de l'amour et de son corollaire chez Assia Djebar : la liberté.