Le sac du Salon d'été. L'affaire Dubuffet - Régie Renault

Par : Jean Robert Bouyeure

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  • Nombre de pages135
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-343-14890-8
  • EAN9782343148908
  • Date de parution01/07/2018
  • CollectionLa justice au quotidien
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

"Un exceptionnel jardin-sculpture créé pour nous par l'un des plus grands artistes de ce temps." C'est ce que devait être, selon la Régie Renault, le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet : une sculpture monumentale de près de 2 000 m2 qui serait édifiée, aux frais de l'entreprise, devant l'immeuble de son siège social à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat passé avec Dubuffet.
Ce dernier intenta alors un procès sur le fondement de son droit moral pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon aux multiples péripéties et rebondissements, qui a défrayé la chronique et ému les milieux artistiques et culturels dans le monde entier. Procès au dénouement pour le moins surprenant et inattendu, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de la notion même d'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.
"Un exceptionnel jardin-sculpture créé pour nous par l'un des plus grands artistes de ce temps." C'est ce que devait être, selon la Régie Renault, le Salon d'été conçu par Jean Dubuffet : une sculpture monumentale de près de 2 000 m2 qui serait édifiée, aux frais de l'entreprise, devant l'immeuble de son siège social à Boulogne-Billancourt. En 1975, cependant, et alors que la moitié de l'oeuvre était déjà construite, la Régie décida d'arrêter les travaux et de rompre le contrat passé avec Dubuffet.
Ce dernier intenta alors un procès sur le fondement de son droit moral pour contraindre la Régie à achever l'oeuvre. L'un des avocats de l'artiste raconte ce marathon aux multiples péripéties et rebondissements, qui a défrayé la chronique et ému les milieux artistiques et culturels dans le monde entier. Procès au dénouement pour le moins surprenant et inattendu, mais qui a permis aux tribunaux de donner une définition de la notion même d'oeuvre d'art et de préciser le contenu du droit moral de l'artiste en cas de construction monumentale.