Le retour de Zarathoustra
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-343-00908-7
- EAN9782343009087
- Date de parution01/12/2013
- CollectionAmarante
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Zarathoustra, l'annonciateur du surhomme, le chantre de la volonté de puissance et de l'éternel retour disparut seul face au soleil, ne laissant à ses adeptes qu'un seul message pouvant se résumer ainsi : "Il vous faut vivre et vouloir par vous-mêmes !". Mais comme tout ce qui vit, comme tout ce qui veut, Zarathoustra lui-même faisant partie du cycle éternel, il ne pouvait que revenir. C'est ce retour qu'évoque ce récit qui se veut littéraire et même souvent poétique.
Revenu du passé par la porte du temps, Zarathoustra trouve devant lui un monde dominé par un monstre : le "Marché", qui à force de tout dévorer a fini par se dévorer lui-même. Au milieu d'un champ de ruines, aux confins d'un monde où il est même devenu impossible et impensable de vivre, dans un monde qui cherche pathétiquement sa résurrection dans le "Marché" qui l'a justement conduit à sa perte, Zarathoustra et ses nouveaux adeptes quêtent et trouvent dans un pauvre désert les signes d'un espoir à renaître.
"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve", écrivait Hölderlin. Cette citation illustre mieux que tout le message philosophique, poétique et esthétique qui apprendra au monde à se sauver du destin unique auquel le monstre phagocyte l'avait définitivement condamné.
Revenu du passé par la porte du temps, Zarathoustra trouve devant lui un monde dominé par un monstre : le "Marché", qui à force de tout dévorer a fini par se dévorer lui-même. Au milieu d'un champ de ruines, aux confins d'un monde où il est même devenu impossible et impensable de vivre, dans un monde qui cherche pathétiquement sa résurrection dans le "Marché" qui l'a justement conduit à sa perte, Zarathoustra et ses nouveaux adeptes quêtent et trouvent dans un pauvre désert les signes d'un espoir à renaître.
"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve", écrivait Hölderlin. Cette citation illustre mieux que tout le message philosophique, poétique et esthétique qui apprendra au monde à se sauver du destin unique auquel le monstre phagocyte l'avait définitivement condamné.
Zarathoustra, l'annonciateur du surhomme, le chantre de la volonté de puissance et de l'éternel retour disparut seul face au soleil, ne laissant à ses adeptes qu'un seul message pouvant se résumer ainsi : "Il vous faut vivre et vouloir par vous-mêmes !". Mais comme tout ce qui vit, comme tout ce qui veut, Zarathoustra lui-même faisant partie du cycle éternel, il ne pouvait que revenir. C'est ce retour qu'évoque ce récit qui se veut littéraire et même souvent poétique.
Revenu du passé par la porte du temps, Zarathoustra trouve devant lui un monde dominé par un monstre : le "Marché", qui à force de tout dévorer a fini par se dévorer lui-même. Au milieu d'un champ de ruines, aux confins d'un monde où il est même devenu impossible et impensable de vivre, dans un monde qui cherche pathétiquement sa résurrection dans le "Marché" qui l'a justement conduit à sa perte, Zarathoustra et ses nouveaux adeptes quêtent et trouvent dans un pauvre désert les signes d'un espoir à renaître.
"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve", écrivait Hölderlin. Cette citation illustre mieux que tout le message philosophique, poétique et esthétique qui apprendra au monde à se sauver du destin unique auquel le monstre phagocyte l'avait définitivement condamné.
Revenu du passé par la porte du temps, Zarathoustra trouve devant lui un monde dominé par un monstre : le "Marché", qui à force de tout dévorer a fini par se dévorer lui-même. Au milieu d'un champ de ruines, aux confins d'un monde où il est même devenu impossible et impensable de vivre, dans un monde qui cherche pathétiquement sa résurrection dans le "Marché" qui l'a justement conduit à sa perte, Zarathoustra et ses nouveaux adeptes quêtent et trouvent dans un pauvre désert les signes d'un espoir à renaître.
"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve", écrivait Hölderlin. Cette citation illustre mieux que tout le message philosophique, poétique et esthétique qui apprendra au monde à se sauver du destin unique auquel le monstre phagocyte l'avait définitivement condamné.