Le règne du vivant

Par : Alice Ferney

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  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.155 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,6 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-330-07047-2
  • EAN9782330070472
  • Date de parution02/11/2016
  • CollectionBabel
  • ÉditeurBabel

Résumé

Magnus Wallace, militant écologiste, parcourt les mers à bord de l' "Arrowhead" pour arraisonner les navires baleiniers qui braconnent en zones protégées. Un combat pour les droits de l'animal, une insurrection singulière qui force l'admiration, racontés dans un roman qui célèbre la beauté du vivant et la nécessité d'une prise de conscience.
Magnus Wallace, militant écologiste, parcourt les mers à bord de l' "Arrowhead" pour arraisonner les navires baleiniers qui braconnent en zones protégées. Un combat pour les droits de l'animal, une insurrection singulière qui force l'admiration, racontés dans un roman qui célèbre la beauté du vivant et la nécessité d'une prise de conscience.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.5/5
sur 4 notes dont 4 avis lecteurs
Ecolo
Une très belle écriture, pour ce roman écologique où on suit l’engagement de Magnus Wallace à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Ce qui m’a dérangé c’est le narrateur qui n’est pas le militant écologique mais le journaliste qui filme. Il est là pour montrer à tout le monde ce qui se passe, mais il n’est pas vraiment engagé comme l’est Magnus Wallace, pour le narrateur il y a de la curiosité et de l’admiration face à l’équipage et au militant. Je n’étais pas vraiment attirée par le sujet et pourtant il me touche beaucoup, mais dans un livre j’avais peur d’être déçue que ce ne soit pas vraiment un roman, mais plus un récit écologique, un plaidoyer. Et j’ai eu raison, ce n’est pas vraiment un roman, mais l’écriture est belle, les descriptions sont poétiques, crues, parfois violentes mais toujours avec une écriture sensible et pleine d’élégance. Qu’on soit sensible à la cause écolo ou pas, ce livre est très touchant, comment rester insensible devant ses hommes qui n’ont aucune limite quand ils ont leurs proies devant eux ? Alors que cette pêche est illégale ? Rien n’est épargné au lecteur, un livre avec des cadavres dépecés rejetés à la mer, des animaux torturés, la corruption, le trafic… tout y passe dans le récit. Pour moi il y a trop de dialogue et de longs discours théoriques dans ce récit ce qui rend la lecture un peu trop ennuyante, il n’y a pas de suspense on sait ce qui va arriver quand on lit ce livre. Heureusement que l’auteur a une belle écriture et que ce livre est court. Retrouvez ma chronique complète sur mon blog : http://dequoijememel.wordpress.com/2014/09/12/le-regne-du-vivant-alice-ferney-rentreelitteraire-lecture/
Une très belle écriture, pour ce roman écologique où on suit l’engagement de Magnus Wallace à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Ce qui m’a dérangé c’est le narrateur qui n’est pas le militant écologique mais le journaliste qui filme. Il est là pour montrer à tout le monde ce qui se passe, mais il n’est pas vraiment engagé comme l’est Magnus Wallace, pour le narrateur il y a de la curiosité et de l’admiration face à l’équipage et au militant. Je n’étais pas vraiment attirée par le sujet et pourtant il me touche beaucoup, mais dans un livre j’avais peur d’être déçue que ce ne soit pas vraiment un roman, mais plus un récit écologique, un plaidoyer. Et j’ai eu raison, ce n’est pas vraiment un roman, mais l’écriture est belle, les descriptions sont poétiques, crues, parfois violentes mais toujours avec une écriture sensible et pleine d’élégance. Qu’on soit sensible à la cause écolo ou pas, ce livre est très touchant, comment rester insensible devant ses hommes qui n’ont aucune limite quand ils ont leurs proies devant eux ? Alors que cette pêche est illégale ? Rien n’est épargné au lecteur, un livre avec des cadavres dépecés rejetés à la mer, des animaux torturés, la corruption, le trafic… tout y passe dans le récit. Pour moi il y a trop de dialogue et de longs discours théoriques dans ce récit ce qui rend la lecture un peu trop ennuyante, il n’y a pas de suspense on sait ce qui va arriver quand on lit ce livre. Heureusement que l’auteur a une belle écriture et que ce livre est court. Retrouvez ma chronique complète sur mon blog : http://dequoijememel.wordpress.com/2014/09/12/le-regne-du-vivant-alice-ferney-rentreelitteraire-lecture/
Monde marin
Avis mitigé sur ce livre.... Une belle écriture, un sujet intéressant, on apprend beaucoup de choses mais une histoire qui ne m'a pas du tout attirée. On suit l'engagement écologique de Magnus Wallace pour sauvegarder et protéger le monde marin et ce, à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Je recommande tout de même car le livre est très bien écrit et le sujet important, pour ma part j'ai n'ai pas été enthousiasmée par ce livre.
Avis mitigé sur ce livre.... Une belle écriture, un sujet intéressant, on apprend beaucoup de choses mais une histoire qui ne m'a pas du tout attirée. On suit l'engagement écologique de Magnus Wallace pour sauvegarder et protéger le monde marin et ce, à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Je recommande tout de même car le livre est très bien écrit et le sujet important, pour ma part j'ai n'ai pas été enthousiasmée par ce livre.
3/5
Hymne à la paix en mer.
Magnus Wallace est un militant écologiste au charisme fascinant. Porté par un engagement sans faille, il n’hésite pas à faire bouclier au péril de sa vie entre les baleiniers et leur proies, à bord de l’Arrowhead. Un journaliste norvégien s’engage à ses côtés pour filmer la beauté des océans et l’horreur des carnages et va découvrir aux côtés de cet homme extraordinaire combien il importe de laisser un monde meilleur aux futures générations. J’étais un peu sceptique avant de l’ouvrir, pas persuadée d’être vraiment emballée par le sujet. Seulement voilà… J’ai découvert la plume d’Alice Ferney. (Elle a écrit un paquet de bouquins, mais je ne connaissais pas pour mon humble part). Et dès les premières pages, on est embarqué dans ce roman qui tient plus du récit mais qui est d’une beauté… Mais d’une beauté ma brave dame. Les descriptions sont tour à tour poétiques, crues, terribles ou sublimes mais l’auteure ne se départit jamais de cette écriture délicate, sans fioritures mais pleine d’élégance : un peu "à l’ancienne" j’ai envie de dire. Et puis comment rester insensible ? Qu’on soit écolo à fond type toilettes sèches ou qu’on se borne simplement à trier ses déchets et à fermer le robinet pendant qu’on se lave les dents (ça c’est oim !), on ne peut qu’être heurté par l’abomination de la pêche illégale et intensive des baleines, requins et autres créatures géantes qu’on connait si mal. Rien ne nous est épargné (par le prisme de la caméra du journaliste) : cadavres à moitié dépecés rejetés à la mer, animaux torturés, et la mer qui passe du bleu au rouge. Ce qui est tout à fait intéressant au-délà de l’affect, c’est tout l’aspect braconnage, trafic à échelle internationale, arrangements, corruption qui est traité simplement mais efficacement dans le récit. J’ai été moins convaincue par le choix du narrateur. Le journaliste est là pour filmer, pour montrer au monde certes, mais son regard est à mon sens très peu pertinent. Partagé entre une vague curiosité et une admiration sans borne pour l’équipage et la figure de Magnus Wallace, il n’apporte pas grand chose. Le Règne du vivant est un récit important, vibrant et c’est un bel hommage au lien qui existe entre l’homme et l’animal et qui a tendance à être trop vite oublié.
Magnus Wallace est un militant écologiste au charisme fascinant. Porté par un engagement sans faille, il n’hésite pas à faire bouclier au péril de sa vie entre les baleiniers et leur proies, à bord de l’Arrowhead. Un journaliste norvégien s’engage à ses côtés pour filmer la beauté des océans et l’horreur des carnages et va découvrir aux côtés de cet homme extraordinaire combien il importe de laisser un monde meilleur aux futures générations. J’étais un peu sceptique avant de l’ouvrir, pas persuadée d’être vraiment emballée par le sujet. Seulement voilà… J’ai découvert la plume d’Alice Ferney. (Elle a écrit un paquet de bouquins, mais je ne connaissais pas pour mon humble part). Et dès les premières pages, on est embarqué dans ce roman qui tient plus du récit mais qui est d’une beauté… Mais d’une beauté ma brave dame. Les descriptions sont tour à tour poétiques, crues, terribles ou sublimes mais l’auteure ne se départit jamais de cette écriture délicate, sans fioritures mais pleine d’élégance : un peu "à l’ancienne" j’ai envie de dire. Et puis comment rester insensible ? Qu’on soit écolo à fond type toilettes sèches ou qu’on se borne simplement à trier ses déchets et à fermer le robinet pendant qu’on se lave les dents (ça c’est oim !), on ne peut qu’être heurté par l’abomination de la pêche illégale et intensive des baleines, requins et autres créatures géantes qu’on connait si mal. Rien ne nous est épargné (par le prisme de la caméra du journaliste) : cadavres à moitié dépecés rejetés à la mer, animaux torturés, et la mer qui passe du bleu au rouge. Ce qui est tout à fait intéressant au-délà de l’affect, c’est tout l’aspect braconnage, trafic à échelle internationale, arrangements, corruption qui est traité simplement mais efficacement dans le récit. J’ai été moins convaincue par le choix du narrateur. Le journaliste est là pour filmer, pour montrer au monde certes, mais son regard est à mon sens très peu pertinent. Partagé entre une vague curiosité et une admiration sans borne pour l’équipage et la figure de Magnus Wallace, il n’apporte pas grand chose. Le Règne du vivant est un récit important, vibrant et c’est un bel hommage au lien qui existe entre l’homme et l’animal et qui a tendance à être trop vite oublié.
  • Bouleversant
  • Vibrant
  • Choquant
Ecologie quand tu nous tiens...
Pour Magnus Wallace, grand défenseur des requins et des baleines, tous les moyens sont bons pour protéger ces animaux en voie de disparition. Il est capable de tout, même de couler un baleinier comme le « Léviathan ». Désireux de suivre la nouvelle campagne de protection de « Gaïa », le groupe d'écologistes activistes qui l'entoure, Gérald, le narrateur, un journaliste et photographe globe-trotteur, embarque à bord de leur navire amiral « l'Arrowhead ». Au large des Galapagos, Wallace et son équipage composé d'une vingtaine de personnes de toutes nationalités et de toutes origines sociales et professionnelles, s'interposent lorsque des pêcheurs équatoriens se mettent à braconner impunément à l'intérieur même d'une réserve naturelle. L'échauffourée est plutôt violente. Mais quand la police maritime intervient, c'est pour donner tort aux défenseurs de l'environnement. Difficile de classer « Le règne du vivant » dans la catégorie roman tant tout ce qui est raconté semble inspiré de situations réelles et rappelle les grandes heures des débuts héroïques de « Greenpeace » quand de frêles zodiacs venaient se placer devant les canons-harpons des baleiniers japonais pour sauver les baleines en prenant tous les risques. Les années, les décennies ont passé et le problème reste entier et encore bien plus prégnant qu'à l'époque. Certains comme les militants de l'association « Noe » ont tout misé sur le dialogue, les conférences, les parlottes qui ne servent à rien. Ils sont devenus respectables et respectés. D'autres, comme Magnus Wallace se sont radicalisés. Leurs méthodes violentes et spectaculaires semblent plus efficaces mais elles les relèguent au niveau des terroristes et autres hors la loi. Sur ce thème intéressant, le lecteur s'attendait à un livre fort et enthousiasmant. Il n'en est rien. Trop de dialogues et de longs discours théoriques. Une intrigue convenue qui dès le début laisse deviner la fin tragique. Des personnages sans épaisseur ni charisme... Heureusement, le texte est court (171 pages seulement) et vite lu grâce à la plume vive et alerte de Mme Ferney. Mais n'est pas Melville ou Hemingway qui veut.
Pour Magnus Wallace, grand défenseur des requins et des baleines, tous les moyens sont bons pour protéger ces animaux en voie de disparition. Il est capable de tout, même de couler un baleinier comme le « Léviathan ». Désireux de suivre la nouvelle campagne de protection de « Gaïa », le groupe d'écologistes activistes qui l'entoure, Gérald, le narrateur, un journaliste et photographe globe-trotteur, embarque à bord de leur navire amiral « l'Arrowhead ». Au large des Galapagos, Wallace et son équipage composé d'une vingtaine de personnes de toutes nationalités et de toutes origines sociales et professionnelles, s'interposent lorsque des pêcheurs équatoriens se mettent à braconner impunément à l'intérieur même d'une réserve naturelle. L'échauffourée est plutôt violente. Mais quand la police maritime intervient, c'est pour donner tort aux défenseurs de l'environnement. Difficile de classer « Le règne du vivant » dans la catégorie roman tant tout ce qui est raconté semble inspiré de situations réelles et rappelle les grandes heures des débuts héroïques de « Greenpeace » quand de frêles zodiacs venaient se placer devant les canons-harpons des baleiniers japonais pour sauver les baleines en prenant tous les risques. Les années, les décennies ont passé et le problème reste entier et encore bien plus prégnant qu'à l'époque. Certains comme les militants de l'association « Noe » ont tout misé sur le dialogue, les conférences, les parlottes qui ne servent à rien. Ils sont devenus respectables et respectés. D'autres, comme Magnus Wallace se sont radicalisés. Leurs méthodes violentes et spectaculaires semblent plus efficaces mais elles les relèguent au niveau des terroristes et autres hors la loi. Sur ce thème intéressant, le lecteur s'attendait à un livre fort et enthousiasmant. Il n'en est rien. Trop de dialogues et de longs discours théoriques. Une intrigue convenue qui dès le début laisse deviner la fin tragique. Des personnages sans épaisseur ni charisme... Heureusement, le texte est court (171 pages seulement) et vite lu grâce à la plume vive et alerte de Mme Ferney. Mais n'est pas Melville ou Hemingway qui veut.
Alice Ferney
Docteur en économie, Alice Ferney s'est imposée sur la scène littéraire française dès la parution de Grâce et dénuement en 1997. Elle est notamment l'auteur de La conversation amoureuse, L'élégance des veuves, Dans la guerre et Les autres.
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