Le père Marie-Dominique Chenu, médiéviste

Par : Marie-Dominique Chenu

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  • Nombre de pages70
  • PrésentationBroché
  • Poids0.135 kg
  • Dimensions16,2 cm × 24,3 cm × 0,4 cm
  • ISBN2-7116-1320-8
  • EAN9782711613205
  • Date de parution01/01/1997
  • ÉditeurVrin

Résumé

Une école de théologie : Le Saulchoir, publié pro manuscripto en 1937, exposait sa méthode d'approche de la théologie en tenant compte des conditionnements historiques de la société. Venu trop tôt et mal compris, il fut mis à l'index en 1942, et le Père Chenu fut écarté de Saulchoir. A Paris, de 1946 à 1952, il donna des cours à l'Ecole pratique des Hautes Etudes (Sorbonne) et composa ses grands livres : Introduction à l'étude de St Thomas d'Aquin (Vrin, 1950), La théologie comme science au XIIIe siècle (Vrin, 1957), La théologie au XIIe siècle (Vrin, 1957), Saint Thomas d'Aquin et la théologie (Le Seuil, 1959), L'éveil de la conscience dans la civilisation médiévale (Vrin, 1969). En 1964, il a réuni ses principaux articles en deux volumes intitulés : La Parole de Dieu, I. La foi dans l'intelligence, II. L'évangile dans le temps (Le Cerf). Il prit une part très active au Concile Vatican II, comme théologien de l'évêque de Madagascar. Le Père Chenu fut aussi un expert souvent consulté sur les initiatives de l'Eglise de France : les Semaines sociales, la JOC, les prêtres-ouvriers, la Mission de France, la Mission de Paris. Il a joué un rôle important dans la vie de la Province dominicaine de France, en particulier dans la fondation d'une maison au Caire. Il a lui-même résumé l'esprit de son œuvre dans la phrase suivante : " Au-delà de leurs bienfaisances propres, les valeurs profanes comportent dans leur consistance naturelle, des ressources qui sont comme des " pierres d'attente " de la grâce, grâce de la foi dans le mystère, grâce de l'espérance dans la béatitude, grâce de la charité dans la fraternité de tous les hommes ".
Une école de théologie : Le Saulchoir, publié pro manuscripto en 1937, exposait sa méthode d'approche de la théologie en tenant compte des conditionnements historiques de la société. Venu trop tôt et mal compris, il fut mis à l'index en 1942, et le Père Chenu fut écarté de Saulchoir. A Paris, de 1946 à 1952, il donna des cours à l'Ecole pratique des Hautes Etudes (Sorbonne) et composa ses grands livres : Introduction à l'étude de St Thomas d'Aquin (Vrin, 1950), La théologie comme science au XIIIe siècle (Vrin, 1957), La théologie au XIIe siècle (Vrin, 1957), Saint Thomas d'Aquin et la théologie (Le Seuil, 1959), L'éveil de la conscience dans la civilisation médiévale (Vrin, 1969). En 1964, il a réuni ses principaux articles en deux volumes intitulés : La Parole de Dieu, I. La foi dans l'intelligence, II. L'évangile dans le temps (Le Cerf). Il prit une part très active au Concile Vatican II, comme théologien de l'évêque de Madagascar. Le Père Chenu fut aussi un expert souvent consulté sur les initiatives de l'Eglise de France : les Semaines sociales, la JOC, les prêtres-ouvriers, la Mission de France, la Mission de Paris. Il a joué un rôle important dans la vie de la Province dominicaine de France, en particulier dans la fondation d'une maison au Caire. Il a lui-même résumé l'esprit de son œuvre dans la phrase suivante : " Au-delà de leurs bienfaisances propres, les valeurs profanes comportent dans leur consistance naturelle, des ressources qui sont comme des " pierres d'attente " de la grâce, grâce de la foi dans le mystère, grâce de l'espérance dans la béatitude, grâce de la charité dans la fraternité de tous les hommes ".