Le Palais dété précédé de J'ai oublié ma phrase
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- Poids0.12 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-35780-069-4
- EAN9782357800694
- Date de parution01/12/2015
- CollectionLittérature
- ÉditeurDomens
Résumé
A la fin des années 70, Serge Velay, jeune professeur de philosophie passionné de littérature, rencontre Jean Carrière (1928-2005), romancier galonné, prix Goncourt 1972 pour L'Epervier de Maheux. S'en suivront près de trois décennies d'amitié et de complicité féconde. Le Palais d'été réunit deux suites de fragments composées à dix ans d'intervalle (2005 et 2015), en mémoire de l'écrivain disparu.
Cet album est, tout à la fois, la chronique pudique d'un deuil, un portrait amoureux de l'artiste et un éloge fervent de la littérature et de la musique. "On me reprochera probablement le décousu de ces pages, écrit Serge Velay, mais je ne voulais pas serrer mon ami dans un livre comme on met au tombeau. Pour laisser résonner sa parole, je désirais lui faire une maison de mots ouverte aux quatre vents, dans un décor qui aurait toutes les apparences du désordre".
On lira donc ce livre comme il a été écrit, suivant "la règle du papillon" : au hasard - et au risque de s'égarer dans les parages de la "vraie littérature" .
Cet album est, tout à la fois, la chronique pudique d'un deuil, un portrait amoureux de l'artiste et un éloge fervent de la littérature et de la musique. "On me reprochera probablement le décousu de ces pages, écrit Serge Velay, mais je ne voulais pas serrer mon ami dans un livre comme on met au tombeau. Pour laisser résonner sa parole, je désirais lui faire une maison de mots ouverte aux quatre vents, dans un décor qui aurait toutes les apparences du désordre".
On lira donc ce livre comme il a été écrit, suivant "la règle du papillon" : au hasard - et au risque de s'égarer dans les parages de la "vraie littérature" .
A la fin des années 70, Serge Velay, jeune professeur de philosophie passionné de littérature, rencontre Jean Carrière (1928-2005), romancier galonné, prix Goncourt 1972 pour L'Epervier de Maheux. S'en suivront près de trois décennies d'amitié et de complicité féconde. Le Palais d'été réunit deux suites de fragments composées à dix ans d'intervalle (2005 et 2015), en mémoire de l'écrivain disparu.
Cet album est, tout à la fois, la chronique pudique d'un deuil, un portrait amoureux de l'artiste et un éloge fervent de la littérature et de la musique. "On me reprochera probablement le décousu de ces pages, écrit Serge Velay, mais je ne voulais pas serrer mon ami dans un livre comme on met au tombeau. Pour laisser résonner sa parole, je désirais lui faire une maison de mots ouverte aux quatre vents, dans un décor qui aurait toutes les apparences du désordre".
On lira donc ce livre comme il a été écrit, suivant "la règle du papillon" : au hasard - et au risque de s'égarer dans les parages de la "vraie littérature" .
Cet album est, tout à la fois, la chronique pudique d'un deuil, un portrait amoureux de l'artiste et un éloge fervent de la littérature et de la musique. "On me reprochera probablement le décousu de ces pages, écrit Serge Velay, mais je ne voulais pas serrer mon ami dans un livre comme on met au tombeau. Pour laisser résonner sa parole, je désirais lui faire une maison de mots ouverte aux quatre vents, dans un décor qui aurait toutes les apparences du désordre".
On lira donc ce livre comme il a été écrit, suivant "la règle du papillon" : au hasard - et au risque de s'égarer dans les parages de la "vraie littérature" .