Le néocapitalisme selon Michel Clouscard
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- Poids0.07 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-915854-33-6
- EAN9782915854336
- Date de parution01/09/2011
- ÉditeurDelga
Résumé
Michel Clouscard retrace notre histoire, celle du plan Marshall à la crise actuelle, en passant par notre dressage initiatique à la prétendue "société de consommation" qui n'est autre que la société de ceux qui peuvent consommer le travail des autres. Certains ont voulu nous faire croire que c'était la "fin de l'histoire" , que le capitalisme avait atteint là son rythme de croisière avec le pacte tacite de l'après Mai 1968 : la droite gère l'économie et la sociale-démocratie s'en tient au "sociétal" , à la libération des moeurs qui ne coûte pas un sou au capital et permet de créer de nouveaux marchés.
Pour qualifier cette société, permissive envers le consommateur, mais plus que jamais répressive envers le producteur, Clouscard forge dès l'après 68 le concept de "libéralisme libertaire" , ou encore celui de "capitalisme de la séduction" , titre de son maître-ouvrage.
Pour qualifier cette société, permissive envers le consommateur, mais plus que jamais répressive envers le producteur, Clouscard forge dès l'après 68 le concept de "libéralisme libertaire" , ou encore celui de "capitalisme de la séduction" , titre de son maître-ouvrage.
Michel Clouscard retrace notre histoire, celle du plan Marshall à la crise actuelle, en passant par notre dressage initiatique à la prétendue "société de consommation" qui n'est autre que la société de ceux qui peuvent consommer le travail des autres. Certains ont voulu nous faire croire que c'était la "fin de l'histoire" , que le capitalisme avait atteint là son rythme de croisière avec le pacte tacite de l'après Mai 1968 : la droite gère l'économie et la sociale-démocratie s'en tient au "sociétal" , à la libération des moeurs qui ne coûte pas un sou au capital et permet de créer de nouveaux marchés.
Pour qualifier cette société, permissive envers le consommateur, mais plus que jamais répressive envers le producteur, Clouscard forge dès l'après 68 le concept de "libéralisme libertaire" , ou encore celui de "capitalisme de la séduction" , titre de son maître-ouvrage.
Pour qualifier cette société, permissive envers le consommateur, mais plus que jamais répressive envers le producteur, Clouscard forge dès l'après 68 le concept de "libéralisme libertaire" , ou encore celui de "capitalisme de la séduction" , titre de son maître-ouvrage.