Le Musée qui n'existait pas

Par : Daniel Buren

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  • Nombre de pages335
  • PrésentationRelié
  • Poids1.139 kg
  • Dimensions17,5 cm × 24,5 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-915173-36-9
  • EAN9782915173369
  • Date de parution14/10/2010
  • ÉditeurXavier Barral

Résumé

« Je pensais qu’il me fallait des photographies pour attester de certaines choses que j’avais faites et qui parfois ne duraient pas plus de deux heures  ». C’est ce que Daniel Buren nomme lui-même des « photos-souvenirs » grâce auxquelles il immortalise son travail in situ et très souvent éphémère depuis près de quarante ans. Avec cet ouvrage, l’artiste nous livre aujourd’hui une promenade photographique de son intervention organisée au Centre Pompidou de juin à septembre 2002, « Le Musée qui n’existait pas », comme un unique témoignage de l’exceptionnelle diversité des oeuvres réalisées pour l’occasion et désormais disparues pour la plupart. Comme si quelque chose d’une histoire désormais passée, enfouie, singulière, refaisait ici surface. Bien peu d’expositions se sont offertes avec autant de liberté à qui la parcourait. Bien peu se sont refusées avec autant de détermination à un parcours obligé. Bien peu ont été construites avec, résolument, l’idée de proscrire un chemin inscrit et balisé. « Le Musée qui n’existait pas », aura bien été une rétrospective de Daniel Buren mais aura substitué à sa forme connue, un paradigme spatial et temporel jusqu’alors inédit. « Exposer dans un musée, c’est aussi exposer le musée », écrit Buren. L’exposition investissait de multiples espaces du Centre Pompidou, Daniel Buren l’avait souhaité ainsi. Si la galerie 2 du niveau 6 accueillait le dispositif principal organisé selon un quadrillage de 71 salles, l’installation se déployait également jusque sur les terrasses, dans les escalators, au sein de la collection du Musée national d’art moderne, sans oublier dans le forum et au niveau 1 du Centre et même sur quelques toits de Paris visibles depuis de longues vues installées à Beaubourg. Des textes de Bernard Blistène et Laurent Le Bon, commissaires de l’exposition, et de Dorothea van Hantelmann, critique d’art, viennent éclairer la démarche de l’artiste. Un ouvrage qui s’adresse à tous ceux qui ont vu l’exposition, qui en l’ont pas vue ou qui veulent en savoir plus sur l’oeuvre de Daniel Buren.
« Je pensais qu’il me fallait des photographies pour attester de certaines choses que j’avais faites et qui parfois ne duraient pas plus de deux heures  ». C’est ce que Daniel Buren nomme lui-même des « photos-souvenirs » grâce auxquelles il immortalise son travail in situ et très souvent éphémère depuis près de quarante ans. Avec cet ouvrage, l’artiste nous livre aujourd’hui une promenade photographique de son intervention organisée au Centre Pompidou de juin à septembre 2002, « Le Musée qui n’existait pas », comme un unique témoignage de l’exceptionnelle diversité des oeuvres réalisées pour l’occasion et désormais disparues pour la plupart. Comme si quelque chose d’une histoire désormais passée, enfouie, singulière, refaisait ici surface. Bien peu d’expositions se sont offertes avec autant de liberté à qui la parcourait. Bien peu se sont refusées avec autant de détermination à un parcours obligé. Bien peu ont été construites avec, résolument, l’idée de proscrire un chemin inscrit et balisé. « Le Musée qui n’existait pas », aura bien été une rétrospective de Daniel Buren mais aura substitué à sa forme connue, un paradigme spatial et temporel jusqu’alors inédit. « Exposer dans un musée, c’est aussi exposer le musée », écrit Buren. L’exposition investissait de multiples espaces du Centre Pompidou, Daniel Buren l’avait souhaité ainsi. Si la galerie 2 du niveau 6 accueillait le dispositif principal organisé selon un quadrillage de 71 salles, l’installation se déployait également jusque sur les terrasses, dans les escalators, au sein de la collection du Musée national d’art moderne, sans oublier dans le forum et au niveau 1 du Centre et même sur quelques toits de Paris visibles depuis de longues vues installées à Beaubourg. Des textes de Bernard Blistène et Laurent Le Bon, commissaires de l’exposition, et de Dorothea van Hantelmann, critique d’art, viennent éclairer la démarche de l’artiste. Un ouvrage qui s’adresse à tous ceux qui ont vu l’exposition, qui en l’ont pas vue ou qui veulent en savoir plus sur l’oeuvre de Daniel Buren.
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