Le guide de l'Ardèche

Par : Michel Riou

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  • Nombre de pages462
  • PrésentationRelié
  • Poids0.79 kg
  • Dimensions12,8 cm × 22,8 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-7377-0340-9
  • EAN9782737703409
  • Date de parution01/01/1993
  • Collectionguides de la manufacture
  • ÉditeurManufacture (la)

Résumé

Proche des rivages méditerranéens comme de la chaîne des Alpes, soumise aux vents glacés du nord comme au souffle bienfaisant de la civilisation latine, l'Ardèche se déploie au-dessus de la vallée du Rhône comme une sorte de balcon magique. Longées par les autoroutes et le T.G.V., proche des aérodromes et des grandes villes du Sud-Est, elle ne se laisse pourtant pas découvrir par le voyageur pressé. Il faut prendre le temps d'observer ses multiples visages, au détour de routes sans cesse changeantes, de garrigues en forêts, de pâturages en vergers et en vignobles, d'abbayes en châteaux. Il y a peut-être ici, de la châtaigne à la figue, tous les fruits de la France. Des côtes-du-rhône aux vins de Basse-Ardèche, des fourmes aux picodons, de la truite au sanglier, on y trouve de quoi garnir toutes les tables, et réjouir tous les palais. Le ski en hiver, le canoë-kayak et la planche à voile l'été, les randonnées pédestres, équestres, automobiles, en toutes saisons, sont d'autres plaisirs. Mais surtout, pour pénétrer l'Ardèche, il faut franchir une sorte de mystérieux passage, un miroir d'Alice. Ici, le vieux ménage du bois, du cheval et de l'outil, que chante Jean Ferrat, ne s'est pas tout à fait désaccordé. La vieille conversation de l'homme et de la terre ne s'est pas tout à fait éteinte. On peut encore l'entendre, à condition de savoir écouter, se taire, voir, regarder, apprendre.
Proche des rivages méditerranéens comme de la chaîne des Alpes, soumise aux vents glacés du nord comme au souffle bienfaisant de la civilisation latine, l'Ardèche se déploie au-dessus de la vallée du Rhône comme une sorte de balcon magique. Longées par les autoroutes et le T.G.V., proche des aérodromes et des grandes villes du Sud-Est, elle ne se laisse pourtant pas découvrir par le voyageur pressé. Il faut prendre le temps d'observer ses multiples visages, au détour de routes sans cesse changeantes, de garrigues en forêts, de pâturages en vergers et en vignobles, d'abbayes en châteaux. Il y a peut-être ici, de la châtaigne à la figue, tous les fruits de la France. Des côtes-du-rhône aux vins de Basse-Ardèche, des fourmes aux picodons, de la truite au sanglier, on y trouve de quoi garnir toutes les tables, et réjouir tous les palais. Le ski en hiver, le canoë-kayak et la planche à voile l'été, les randonnées pédestres, équestres, automobiles, en toutes saisons, sont d'autres plaisirs. Mais surtout, pour pénétrer l'Ardèche, il faut franchir une sorte de mystérieux passage, un miroir d'Alice. Ici, le vieux ménage du bois, du cheval et de l'outil, que chante Jean Ferrat, ne s'est pas tout à fait désaccordé. La vieille conversation de l'homme et de la terre ne s'est pas tout à fait éteinte. On peut encore l'entendre, à condition de savoir écouter, se taire, voir, regarder, apprendre.