Aujourd'hui, l'autre semble avoir perdu son ombre, son ambiguïté. Impossible de se retirer dans l'insaisissable, dans l'énigmatique de la subjectivité. Quand la langue est réduite à être un outil de communication, le règne de la clarté crue, de l'individu technique, de la prédation de tous par tous est à l'horizon. En s'appuyant sur les grands veilleurs de la langue (Walter Benjamin, Paul Celan, Hélène Cixoux, Jacques Derrida, Franz Kafka, Sigmund Freud, Emmanuel Levinas), Ghyslain Lévy s'offre à nous faire partager ce don de l'ombre au coeur de l'expérience psychanalytique.
Son attention à la poétique de la langue, à l'opacité du monde, nous fait comprendre la nécessité éthique de l'altérité. C'est ainsi que nous pouvons penser.
Aujourd'hui, l'autre semble avoir perdu son ombre, son ambiguïté. Impossible de se retirer dans l'insaisissable, dans l'énigmatique de la subjectivité. Quand la langue est réduite à être un outil de communication, le règne de la clarté crue, de l'individu technique, de la prédation de tous par tous est à l'horizon. En s'appuyant sur les grands veilleurs de la langue (Walter Benjamin, Paul Celan, Hélène Cixoux, Jacques Derrida, Franz Kafka, Sigmund Freud, Emmanuel Levinas), Ghyslain Lévy s'offre à nous faire partager ce don de l'ombre au coeur de l'expérience psychanalytique.
Son attention à la poétique de la langue, à l'opacité du monde, nous fait comprendre la nécessité éthique de l'altérité. C'est ainsi que nous pouvons penser.