Le criquet de fer. Les aventures inachevées d'un enfant qui ne vit que terre fuyante et s'écria : coqs, voici mes pièges !
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- Nombre de pages100
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.089 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,6 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-330-00645-7
- EAN9782330006457
- Date de parution14/03/2012
- CollectionBabel
- ÉditeurActes Sud
- TraducteurFrançois Zabbal
Résumé
Tout près de la frontière turque, au début des années 1950, une
bourgade perdue de la campagne syrienne subit la loi des
brigades recrutées dans les tribus bédouines du désert.
Comment leur tenir tête sinon en recourant à la violence ?
C'est ainsi qu'une société oubliée par l'histoire entraîne dans
son délire ses propres enfants à jamais mutilés de leur candeur.
L'enfance kurde de Salim Barakat fut précipitée dans des
passions "plus vieilles que son âge".
Loin d'en prononcer l'oraison funèbre, Le Criquet de fer célèbre avec une poésie barbare l'allégresse de ces jeunes années cruelles. Et leur récit s'évade en un lyrisme superbe qui rend le mal au bien et la culpabilité à l'innocence.
Loin d'en prononcer l'oraison funèbre, Le Criquet de fer célèbre avec une poésie barbare l'allégresse de ces jeunes années cruelles. Et leur récit s'évade en un lyrisme superbe qui rend le mal au bien et la culpabilité à l'innocence.
Tout près de la frontière turque, au début des années 1950, une
bourgade perdue de la campagne syrienne subit la loi des
brigades recrutées dans les tribus bédouines du désert.
Comment leur tenir tête sinon en recourant à la violence ?
C'est ainsi qu'une société oubliée par l'histoire entraîne dans
son délire ses propres enfants à jamais mutilés de leur candeur.
L'enfance kurde de Salim Barakat fut précipitée dans des
passions "plus vieilles que son âge".
Loin d'en prononcer l'oraison funèbre, Le Criquet de fer célèbre avec une poésie barbare l'allégresse de ces jeunes années cruelles. Et leur récit s'évade en un lyrisme superbe qui rend le mal au bien et la culpabilité à l'innocence.
Loin d'en prononcer l'oraison funèbre, Le Criquet de fer célèbre avec une poésie barbare l'allégresse de ces jeunes années cruelles. Et leur récit s'évade en un lyrisme superbe qui rend le mal au bien et la culpabilité à l'innocence.