Le corps en fête dans la bande dessinée

Par : Frédéric Chauvaud, Denis Mellier
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  • Nombre de pages315
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.388 kg
  • Dimensions13,9 cm × 20,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-7535-9499-9
  • EAN9782753594999
  • Date de parution16/05/2024
  • CollectionEssais
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

La fête peut être l'occasion d'une expérience singulière pour les corps dessinés. Elle est surtout une expérience collective où s'assemblent familles et groupes, amis et voisins, tribus et foules. Nul doute que les bals, les défilés, les manifestations, les concerts, les festivals, les cérémonies qui marquent les âges de la vie, ou encore les matchs de boxe, de basket ou de football sont autant de circonstances qui permettent de saisir la puissance expressive des corps. En effet, les rituels, les costumes, les accessoires, les lieux et les parcours, les poses et les comportements, ordonnés ou débridés, sont autant d'occasion d'observer les liens qui unissent les personnages selon les époques et les genres de la bande dessinée. La silhouette, que Georges Vigarello a étudiée, n'est pas la même au XIXe et au XXe siècle et elle se retrouve dans les récits graphiques qui traversent les imaginaires et les cultures. Le présent ouvrage, pluridisciplinaire, entend souligner que la fête peut être tantôt inquiétante, tantôt porteuse d'une énergie ludique culminant lors du carnaval ou d'un vaste rassemblement. Mais qu'elle soit conformiste ou subversive, elle nécessite de porter une grande attention à toutes les configurations festives. Elle fait dialoguer, aussi bien dans les bandes dessinées franco-belges, que dans les comics ou encore dans les mangas, les forces du rire et de l'effroi, du plaisir et de la retenue, de la codification et de la démesure. Pour mener à bien l'exploration du corps festif, défilent les scènes théâtrales, mais aussi les chants et la musique, du blues au rock, la danse, le sexe et la goinfrerie.
La fête peut être l'occasion d'une expérience singulière pour les corps dessinés. Elle est surtout une expérience collective où s'assemblent familles et groupes, amis et voisins, tribus et foules. Nul doute que les bals, les défilés, les manifestations, les concerts, les festivals, les cérémonies qui marquent les âges de la vie, ou encore les matchs de boxe, de basket ou de football sont autant de circonstances qui permettent de saisir la puissance expressive des corps. En effet, les rituels, les costumes, les accessoires, les lieux et les parcours, les poses et les comportements, ordonnés ou débridés, sont autant d'occasion d'observer les liens qui unissent les personnages selon les époques et les genres de la bande dessinée. La silhouette, que Georges Vigarello a étudiée, n'est pas la même au XIXe et au XXe siècle et elle se retrouve dans les récits graphiques qui traversent les imaginaires et les cultures. Le présent ouvrage, pluridisciplinaire, entend souligner que la fête peut être tantôt inquiétante, tantôt porteuse d'une énergie ludique culminant lors du carnaval ou d'un vaste rassemblement. Mais qu'elle soit conformiste ou subversive, elle nécessite de porter une grande attention à toutes les configurations festives. Elle fait dialoguer, aussi bien dans les bandes dessinées franco-belges, que dans les comics ou encore dans les mangas, les forces du rire et de l'effroi, du plaisir et de la retenue, de la codification et de la démesure. Pour mener à bien l'exploration du corps festif, défilent les scènes théâtrales, mais aussi les chants et la musique, du blues au rock, la danse, le sexe et la goinfrerie.
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